nom › ton nom te dégoutte. sa moindre prononciation procure en toi une vague de colère, de haine. ton nom était aussi celui de ton père, cet homme qui n'avait d'yeux que pour le vice, la luxure, l'illégalité. ton nom est hastings et tente malgré toi de le faire oublier, de montrer au monde que tu n'es pas de cette lignée. tu préfères dire que ton nom  est kershaw, nom de ta famille d'accueil. tu semble parfois vouloir être sans aucun nom, un sans famille. ce que tu es, finalement.  ∙ prénom(s) › tes prénoms te comblent d'horreur, autant que ton nom. ils te rappellent tes géniteurs, ces bons à rien. ces lâches. maël thomas, voilà ce qu'il y a écrit sur ta pièce d'identité. tu détestes autant tes prénoms que tu hais les surnoms pathétiques.  ∙ date et lieu de naissance › tu es natif de longside creek, un gamin de ville, un môme connu et reconnu. tu es né dans l'hôpital de cette petite bourgade en bord de mer, un après midi neigeux de janvier. c'était le quinze. ∙ âge › tu as trente ans, âge qui ne t'effraie pas, bien au contraire. il est un pas de plus vers une nouvelle vie, une nouvelle liberté. ∙ nationalité(s) › tu as l'amérique dans le sang, dans le corps, dans la bouche. ton pays est ce que tu peux apprécier le plus en toi. tu te déclares fièrement américain, sans crainte ni honte. ∙ orientation sexuelle › il n'y a toujours eu des femmes dans ta vie et jamais tu n'as eu l'intention dans changer. la beauté d'un corps féminin ne te lasse pas. surtout le sien, que tu n'as plus revue depuis des années. ∙ statut › tu te sens faible, faible mais amoureux. vulnérable mais ton palpitant s'active chaque fois que tu penses à elle. dylan. ses cheveux bruns, son visage, ses yeux. elle a fait chavirer ton coeur, pour ton plus grand bonheur. pour ton plus grand malheur, aussi. ∙ études/métiers › tu as longtemps hésité. très longtemps. de nombreuses voies s'ouvraient à toi. et pourtant, tu as ouvert une petite entreprise, ta propre entreprise ou tu es le seul employé, le seul patron. tu es plombier, électricien et tu peux faire plus parfois. quand on te le demande. tu sais tout faire, de la mécanique à la plomberie, de l'électricité à la maçonnerie. et ainsi de suite. ∙ quartier › tu vis à longside harbor, dans un grand loft. des mois de travail t'ont permis de t'offrir ce bel endroit. tu en es fier et tu le montre bien d'ailleurs. ∙ groupe › intrepidity. ∙ caractère › les années t'ont forgé un caractère d'acier. tu connais les valeurs de la vie, du travail. certains diront que tu es un bosseur, d'autres penseront que tu n'es qu'un branleur de première. tu as su t'entourer des bonnes personnes, des bonnes rencontres. tes amis représentent tout pour toi, une famille et une compagnie constante. quotidien. tu leur es loyal. il n'y a qu'une fois où tu as trompé la confiance d'un de tes amis, le meilleur que tu avais. il est mort avant que tu es pu te confondre en excuses. loin d'être quelqu'un de spontané, tu réfléchis, tu analyses une à une les situations. parfois un peu trop, d'ailleurs. on te le reproche, tu t'en moques. en amour comme en amitié, tu es quelqu'un de très protecteur. tu serais près à te battre pour protéger ceux que tu aimes. tu es un brin impulsif, surtout lorsqu'il s'agit de haine, de colère. ça t'a joué des tours. tu fais attention aux personnes qui t'entourent, tu leur offres tout ce que tu as. tu as mal grandi et tu en gardes des séquelles irréversibles. tu sais où se trouve ses intérêts. tu sais user de ses talents pour charmer, pour amadouer. t'es rancunier, tu le sais. tu ne pardonnes pour ainsi dire jamais. tu n'aimes pas revenir sur tes décisions.

tics&manies.

questions.

1. tu n'as jamais aimé l'école, les études. t'étais du genre à préférer quitter la classe sous les rires amusés de tes camarades. 2. t'as grandi dans une famille adoptive, ton père t'a confié à une famille du coin. il n'avait pas le temps pour toi. ou devrais-tu dire, il n'en avait rien à faire de toi. finalement, tu as eu droit à une véritable famille. à un véritable amour. 3. ta mère a quitté la maison le jour de ton troisième anniversaire. elle s'est cassée sans demander son reste. aujourd'hui encore, tu la cherches. en vain. 4. tu as un don pour la musique. la guitare à la main, tu pousses la chansonnette régulièrement. c'est le seul moyen que tu as trouvé pour te détendre. 5. t'es l'homme à tout faire de la ville. ton entreprise fonctionne plutôt malgré les derniers événements. 6. sous légitime défense, tu as abattu ton père d'une balle en plein cœur. tu te sens mal, comme un monstre. t'en rêvais pourtant depuis des années, le voir mourir sous tes yeux. au final, tu as mal. mal d'être devenu un meurtrier. 7. tu utilises couramment le langage des signes, ta mère adoptive était muette. tu es fier de savoir décrire avec ses mains des mots. avec ta sœur et ton frère adoptifs, ils vous arrivent de parler par ce langage. 8. tu es très économe et adore faire de la récupération. tu conserves pleins de choses dans un placard de ton loft, des vieux qui semblent sans intérêt mais avec lesquels tu peux faire pleins de choses. 9. lorsque ton meilleur ami est mort, tu t'es senti coupable. tu avais une relation secrète avec la femme de celui-ci. au final, t'as fini par laisser tomber. ton amour était trop fort pour ça. 10. tu possèdes un chat, le chat qu'il s'appelle. si j'étais... un prénom › dylan, cette femme dont tu as toujours été amoureux. la seule femme que tu as aimé. la seule femme que tu aimes réellement. un animal › le loup, parfois en meute, parfois solitaire, parfois tueur. cet animal te correspond, tu en es certain. une saison ›  l'hiver, pour le froid, pour les neiges sur les chaînes des montagnes, pour les paysages idylliques et éphémères. un objet ›  une vieille cassette audio où l'on peut trouver une compilation de tes chansons préférées. une chanson ›  boulevard of broken dreams, de green day. du rock, un groupe, une chanson que tu aimes. une odeur ›  celle de la peinture fraîche, dans une maison neuve. un livre ›  tu ne lis plus depuis des années, tu ne saurais pas donner de titre précis. un pays ›  les états-unis, le canada peut-être bien. l'amérique du nord, en tout cas. un film ›  un de ces films d'actions, celui où le héros finit par avoir ce qu'il désire. un personnage fictif › en plaisantant, tu pourrais facilement dire bob le bricoleur. après tout, tu bricoles, tu répares, tu aides les gens. tout comme lui. un sentiment › la haine, cette haine qui t'a habité pendant des années, elle commence tout juste à s'estomper. tu arrives à peine à pardonner. un des quatre éléments › le feu correspond si bien à ton tempérament mais tu aimerais pouvoir dire que tu es l'eau, glaciale et volage. une citation › "j'ai assez vécu pour voir que différence engendre haine" de henri stendhal.

Quand et de quelle façon êtes-vous arrivé à Longside Creek ? il y a plus de trente ans maintenant que tu voyais le jour dans cette petite ville de bord de mer. endroit agréable, endroit rempli d'histoire et de vie. t'es né à l'hôpital, ta mère vivait là avant, ton père aussi. tes grands-parents et tes arrières grands-parents aussi. la lignée des hastings s'étend sur des générations. peut-être même depuis la création de la ville. Que pensez-vous de cette ville ? tu ne sais pas ce que tu peux penser réellement. cette ville t'a fait du mal, t'a fait du bien. t'a fait souffrir autant qu'elle t'a apporté le bonheur. elle est belle, les gens l'aiment pour cette beauté, magique. elle n'est pas différente des autres villes de bord de mer, elle possède ses maisons, ses centres de loisirs. elle est comme beaucoup. mais celle-ci, c'est ta ville. celle qui a tout vu de toi. le pire, le meilleur. vraiment tout. Où et comment vous voyez vous dans six ans ? dans tes rêves les plus fous, tu t'imagines auprès de dylan, dans une belle maison, des enfants, des animaux et le bonheur au bout de tes lèvres. voilà ce que tu aimerais dans six ans. une vie de famille, un amour sans faille, la réussite de tout ce que tu as entrepris. tu ne sais pas ce que tu veux aujourd'hui, si ce n'est être avec elle. à trente ans, tu estimes que tu mérites plus que la vie que tu mènes. à trente-six ans, tu espères que tes rêves se seront concrétisés. La tempête vous a-t-elle touché personnellement ? tu n'as rien eu, toi. pour la simple et bonne raison que tu n'étais même pas en ville à cet instant précis. tu avais quitté l'état, sur les traces d'une mère absente depuis trop longtemps, depuis vingt ans quasiment. tu avais décidé sur un coup de tête de partir pour comprendre, en revenant ¨tu avais découvert la tragédie. au fond, tu avais rien eu de ta génitrice et la tempête t'était tout bonnement passé au dessus de la tête.

prénom/pseudo › camille, c'est simple. ∙ âge › j'ai soufflé mes vingt bougies en tout début d'année, la majorité internationale sera bientôt à moi.    ∙ fille ou garçon › si j'en crois mon anatomie, il semblerait que je sois une fille. ∙ grâce au règlement, je sais que... › et si je ne me suis pas trompée, qu'il ne faut pas me prendre pour une poire. je n'oserais pas. jamais.    ∙ comment as-tu connu WAN ? › grâce aux publicités sur facebook.    ∙ autres comptes › pas encore, mais qui sait si ça ne viendra pas un jour. ∙ tes premières impressions › il y a longtemps que je recherchais une simplicité aussi attrayante, ce forum est vraiment agréable pour les yeux.    ∙ d'autres commentaires ›       

« Adieu mon fils. » avait-elle murmuré à ton oreille. Ses larmes salés avaient rendu humide ton haut de pyjama. Tu t'en souviens, il était bleu. Un bleu océan qu'elle aimait tant. Tu t'en souviens, son mascara avait coulé sur ses joues rosées. Elle sanglotait silencieusement, étouffant dans ton cou sa douleur, sa plainte terrible. Son cœur était brisé. Tu te contentais de répondre à son étreinte sans comprendre que jamais plus tu ne retrouverais la chaleur des bras maternels. Jamais plus tu ne reverrais le visage fin de cette femme que tu appelais maman. Elle t'offrait un ultime baiser sur le front avant de disparaître, te laissant seul dans cette grande maison. Seul être vivant, tu n'avais que trois ans. Tu as compris trop tard qu'elle ne reviendrait plus. Qu'elle venait de t'abandonner pour fuir une vie oppressante. Pour vivre une nouvelle vie ailleurs, loin d'un homme mauvais. Tu étais resté là, abandonné. Ton cœur brisé avait croisé le regard intransigeant d'un père trop souvent absent. D'un père foncièrement méchant. Ton bras s'était brisé sous la colère de ton paternel, refusant l'idée qu'il venait de perdre celle qu'il aimait. « Tout est de ta faute, Maël. C'est de ta faute. » Tu n'avais cessé de pleurer jusqu'à n'avoir plus de larmes à offrir. Tu n'avais que trois ans, tu n'as plus pleuré depuis.




« Bon à rien ! » Tu encaissais les coups, les injures. Tu le regardais sans ciller, sans broncher. Tu te sentais coupable, coupable de la colère de ton paternel. Coupable du départ de ta mère. Tu attendais qu'il se sente mieux. Tu espérais qu'il finirait par se lasser de te traiter comme une créature du diable. Il a fini par ne plus vouloir de toi, préférant te voir ailleurs que chez lui. Pas par regret de t'avoir maltraiter durant plusieurs mois. Pas par réelle. Il n'avait simplement pas d'autre choix. Trop souvent absent, les services sociaux avaient choisi de t'envoyer dans une famille d'accueil de la ville. Les Kershaw avait deux enfants, une fille et un garçon. Une famille que tu n'aurais pu imaginer tant tu ne connaissais rien à l'univers familial. Tu avais commencé à sourire, à vivre. A grandir comme un petit garçon normal. Tu ne voyais ton père que rarement, lorsqu'il pensait un peu à toi, lorsqu'il se souvenait qu'il avait eu un fils. Les retrouvailles devenaient pire à mesure que tu évoluais, que tu grandissais. Tu n'avais malgré toi jamais oublié ce qu'il t'avait fait. Comme tu n'avais pas réussi à oublier les larmes de ta génitrice quittant pour de bon le foyer familial. Tu étais devenu un fardeau pour ta propre famille, devenant ainsi le membre à part entière d'une autre. Si ton nom restait, tu ne te sentais plus Hastings. Tu ne respirais plus le même air que ces gens, tu avais choisi de devenir Kershaw, fièrement. Dès l'âge de cinq ans, tu as grandi dans cette famille. Ils t'avaient appris la vie, les valeurs. Ils t'avaient éduqué comme leur fils. « Bienvenu chez toi, fiston. »




Ta haine se ressentait dans chacun de tes travaux, tu hurlais intérieurement contre ce monde qui t'oppressait, t'écrasait. Tu cherchais ton souffle, ton chemin. Tu cherchais ce que tu allais bien pouvoir faire de cette colère qui petit à petit te détruisait. Tu avais fini par te mettre au sport sans succès, ni la boxe, ni le jogging, ni le surf n'arrivait à détendre ton corps endurci. A la recherche de ta mère, tu courrais après un fantôme, une femme sans attache sans cesse en mouvement. Les gens ne la connaissaient pas, trop peu en tout cas. D'elle, tu te rappelais le son de sa voix, si douce, si pure. Comme un chant d'oiseau à l'aube du printemps, elle laissait planer derrière elle une aura enchanteresse, une aura qui avait calmé tes maux le temps d'un instant. Elle avait disparu et tout le monde semblait l'avoir oublié. Tous l'avaient laissé filer, sans un mot. Parfois elle te manquait. Tu te dégoûtais de penser ça.
Tu tentais de t'épanouir. Rien ne te plaisait réellement, ni les mathématiques, ni les langues. Rien de cérébral, tu n'arrivais à te sentir bien qu'en pratique. Tout ce qui était manuel te permettait de te défouler, de contrôler tes nerfs constamment à vif. Tu as naturellement choisi ta voie sans pour autant te définir. Tu te débrouillais partout, dans tout. Tu n'arrivais pas à te focaliser sur une chose, tu en voulais toujours plus. Simplement parce que lorsque ton visage se plongeait dans la mécanique ou dans le plâtre, tu cessais de penser à ta mère, à ton père. A ta véritable famille. Tu oubliais quelques heures que tu avais grandi dans une famille d'accueil bien meilleure que ta propre famille. Tu oubliais ta vie pour te concentrer sur un unique but : réussir.




Pour elle, tu aurais tout fait. Pour elle, tu aurais même réussi à changer. Dylan, qu'elle s'appelait. Des cheveux foncés, des yeux à faire chavirer, un corps que tu aimais observer. Cette fille t'a hanté, des jours, des nuits entières durant lesquelles tu l'imaginais près de toi, bercée aux creux de tes bras. T'étais fou d'elle, fou de cette fille. Tu n'avais pourtant pas de valeurs, rien qui ne pouvait attirer la fille de tes rêves. Pas de nom de famille important - si ce n'est celui d'un père sans doute trafiquant, sans doute psychopathe -, pas d'argent à lui apporter, rien de solide à lui proposer. Tu n'étais rien comparé à elle, rien face à cette beauté qui avait su te toucher en plein cœur. Evidemment que tu l'aimais et pourtant, tu l'avais regardée choisir ton meilleur ami sans rien dire. Parce que tu restais toujours silencieux, tu préférais ne rien dire plutôt que d'exposer tes sentiments. Tu préférais les taire et les enfouir, comme au bon vieux temps. Ce temps où tu avais laissé ton père t'insulter, de battre. S'il te voyait, il continuerait sans doute. Plus violemment sans doute. Face à elle, t'étais impuissant. Un pauvre con les bras ballants, souffrant le martyr. Cœur brisé, broyé. T'es resté dans ton coin jusqu'à la demande fatidique. « Je t'aime Dylan, tu ne peux pas l'épouser. » Bien sûr qu'elle le pouvait, bien sûr qu'elle avait droit de choisir un bonheur immense, une maison parfaite, une famille parfaite. Tu lui avais balancé tes sentiments dans le simple espoir qu'elle renoncerait. Tu l'avais embrassé, t'avais tout essayé pour la garder. Tu t'étais pourtant retrouvé garçon d'honneur, à suivre hypocritement ton meilleur ami tandis que du coin de l’œil, tu ne cessais d'observer la femme de ta vie au bras d'un autre. Tu aurais dû être à sa place. Parce que tu le savais, Dylan Emerson t'aimait et son choix n'avait rien eu de romantique.




Abandonné. Seul. Dylan était partie, tu n'avais rien tenté pour la rattraper. Les mois passants, tu avais espéré l'oublier, la rayer de ta vie une bonne fois mois toute. Sans succès. Elle te hantait, toujours un peu plus. Son âme restait présente, autour de toi. En toi. Elle est partie, tu ne sais où. Tu ne veux pas le savoir tant tu lui en veux. Ta vie s’effrite, s'éraille. Tu perds le contrôle, tu défailles. Mais pire encore, tu t'es perdu, tu ne sais plus qui tu es.
C'était il y a six mois. Une stupide erreur d'apparence, un soulagement intérieur pourtant. Ta main tremblait autour du neuf millimètres, pointé en direction de ton père. Lui-même en tenait une arme en ta direction. Fatale allait être la nuit. Pour lui, pour toi. Il a tiré le premier, atteignant ton abdomen. Ton tir à toi l'a touché en plein cœur. Tu ne te souviens de rien, si ce n'est être tombé face contre terre, baignant dans le sang que ton corps versé. Tu es tombé dans le coma, quelques jours. Tu ne garderas qu'une vilaine cicatrice. Le plus grave étant que tu avais tué ton père de tes mains. Une longue procédure s'en est suivi, des témoignages, des questions, des histoires racontées. Tu leur avais dit ce qu'il avait été pour toi, ce qu'il t'avait fait. Tu leur avais raconté ton histoire aux autorités. Et ton avocat avait plaidé en ta faveur sans lâché une seule seconde. « Ce n'était que de la légitime défense ! Il a lui même été victime dans cette histoire. » répétait-il sans cesse si bien que les gens ont fini par y croire un petit peu. Tu n'as rien écopé, les conclusions de l'enquête ont été en ta faveur. Tu t'étais simplement défendu ce jour-là. Pourtant jamais tu as pu leur dire que tu étais heureux de l'avoir fait. Monstre, tu te sentais. Les gens se divisaient en deux catégories, ceux qui avaient pitié, ceux qui avaient peur. Finalement, tu ne savais pas ce qui était le mieux.