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 Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN

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William K. Standford
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MessageSujet: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyLun 14 Mar - 22:08



❝Come on baby, light my fire
Try to set the night on fire❞
William & Gillian
« Bon les filles, vous voulez bien vous dépêcher, on attend plus que vous » s’impatientait William tandis que Jay, Alexander et lui attendaient que les Gillian et Kate aient terminé de se préparer. « Tu devrais te sentir flatté, Gillian se fait belle pour toi. » , répondit Jay. Tous les cinq avaient débuté la soirée chez William, buvant gentiment quelques verres lorsque Jay avait proposé de sortir faire la fête « incognito » dans une boîte de nuit qu’il avait l’habitude de fréquenter. Là bas, pas de carré VIP, les cinq jeunes gens seraient mêlés à la foule des New-Yorkais moyens et William avait peu de chance d’être reconnu parmi des gens qui n’étaient pas issus de la haute société. Si Alexander, Kate et Gillian s’étaient montrés enthousiastes à cette idée, il n’en était pas de même pour William qui avait l’habitude du champagne et des carrés VIP. Se retrouver à boire du mauvais alcool hors de prix dans une boite bondée après avoir attendu de longue minutes dans le froid qu’on daigne les laisser entrer ne lui faisait absolument pas envie. « Tu vas voir, on va bien s’amuser et tu vas pouvoir te lâcher sans craindre d’être reconnu. » , renchérit Alexander. « Ouais ouais, ça va être l’éclate » , répondit William avec ironie. Il savait pourtant qu’Alex avait raison, sortir dans une boîte beaucoup moins select était la condition pour pouvoir sortir tous ensemble et de ne pas avoir à considérer sa petite amie comme une étrangère puisque sa relation avec Gill n’était pas encore exposée au grand jour. Cela ne saurait tarder, mais il voulait choisir avec soin l’évènement où il la tiendrait par la main pour la première fois en public, une sortie en boîte de nuit était loin d’être l’idéal. L’autre avantage à sortir dans ce type de boîte pour lui en plus de l’anonymat et de pouvoir toucher sa petite amie, c’était qu’il pouvait s’habiller plus décontracté que dans un club branché et élitiste : un jean sombre et une chemise noire accompagné d’une paire de chaussures noires. Il n’allait pas risquer de bousiller un costume à 3000 dollars dans une boîte où on risquait à tout moment de lui renverser dessus une pinte de bière ou un whisky-coca.

Kate fût la première à apparaitre, vêtue d’une robe rouge sombre, très courte. La jeune femme aimait se faire remarquer, elle attirer les regards. Will jeta un regard désapprobateur à sa sœur, en grand frère protecteur (et un brin étouffant), il ne cautionnait pas cette attitude provocatrice. Alexander, lui, la regardait comme si elle était la huitième merveille du monde. Ca serait à lui de gérer les types qui allaitent essayer de la draguer ce soir, et le rouquin avait intérêt à être à la hauteur. Il fût interrompu dans ses réflexions lorsqu’à son tour, Gillian apparu au sommet des escaliers, tout simplement radieuse. Jay avait raison, ça valait le coup d’avoir patienté. Elle était la fois sexy sans être vulgaire dans sa jolie robe, elle avait noué ses cheveux dans une coiffure plus sophistiquée qui permettait de voir la courbe élégante et fine de son cou. Jay poussa un sifflement flatteur, lui aussi visiblement sous le charme de la jolie blonde. William quant à lui la dévorait des yeux, s’il n’avait pas autant de retenue, il s’en décrocherait la mâchoire comme dans les cartoons de Tex Avery. Il lui tendit la main pour l’aider à descendre les dernières marches avec ses talons, il l’entraina à l’écart puis l’attrapa doucement par la taille. « Tu es sublime, Gillian » , lui confia t-il les yeux brillants d’admiration. Il la serra un peu plus contre lui, cala sa tête contre la sienne pour lui murmurer quelques mots. « Tu vas faire tourner toutes les têtes et tu vas devoir passer la soirée à recadrer tes prétendants, tu es sûre que tu ne veux pas qu’on reste ici, juste toi et moi ? On pourrait boire du vin en refaisant le monde et ensuite je t’enlèverai cette magnifique petite robe pour achever de te faire passer une soirée inoubliable. » , suggéra t-il sur un ton enjôleur, un sourire charmeur aux lèvres. Ses mains glissèrent doucement sur les fesses de la jeune femme pour venir coller son bassin contre le sien, il jouait le tout pour le tout, usant des méthodes les plus basses et les plus tentantes parce qu’elle le savait tout à fait capable de tenir sa promesse « A vrai dire, je ne sais pas comment je vais faire pour me retenir pendant toute la soirée de t’arracher tes vêtements. » Vous avez dit persuasif et manipulateur ? William voulait faire craquer sa partenaire, d’une part pour éviter cette soirée, mais aussi et surtout parce que la voir ainsi lui donnait tout un tas d’idées en tête qui n’avait rien à voir avec le fait de se trémousser sur une piste de danse pleine à craquer et collante de bière.
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T. Gillian Marshall
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyVen 18 Mar - 22:36



 
imagine-toi t’es là en train de te reprendre un verre au bar
, quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
« Alors ? ». Le ton était grave et la voix mal assurée. Kate reculait d’un pas, une main posée sur le menton, abordant un air indéchiffrable qui ne faisait que faire grimper en tension la jeune femme de minute en minute. Gillian sentait les yeux de la jeune femme balayer la moindre parcelle, des chaussures en passant par ses vêtements, la coiffure qu’elle avait choisi de faire, le maquillage qu’elle portait jusqu’au vernis au bout de ses doigts. L’heure du jugement était venue et la jeune femme avait appris à se faire à l’avis très tranchent mais honnête de Kate, qui de son côté n’hésitait pas à bousculer le côté parfois trop simple et sage de Gillian. Ce soir, la jolie blonde voulait faire forte impression auprès de William. Si cette sortie s’annonçait complètement anodine, elle ne l’était pas moi de son côté ; pour la première fois depuis qu’ils s’étaient remis ensemble, ils allaient pouvoir sortir sans qu’elle soit obligée de se maintenir au rôle de « simple amie ». Elle allait pouvoir en profiter comme il se doit et elle comptait bien pour cela mettre toutes les chances de son côté. C’est pourquoi, elle avait opté pour la paire de talon noir, classique et indémodable, de hauteur plus vertigineuse que ce qu’elle avait l’habitude de porter. Assortie à cette hauteur vertigineuse, la jeune femme avait opté pour une robe noire, dévoilant ses jolies jambes et épousant à la perfection ses hanches, taille et poitrine. Le devant était assortit d’un décolleté parfaitement agréable, sans pour autant en mettre plein la vue pour autant. Tout le tour de la robe résidait en son dos ouvert, plongeant, vertigineux, plongeant en « V » et laissant à la vue de tous la délicieuse courbure des reins de la jeune femme. Un effet pile qui était déjà très « femme fatale », mais un effet face qui allait encore plus le retourner, elle le savait. Elle n’avait pas trop forcé sur le maquillage, préférant laisser les yeux sobres et charger la bouche avec un intemporel rouge passion tandis que ses cheveux étaient ramenés sur sa nuque, pour accentuer davantage la vue laissée par sa robe. Et à en juger par le large sourire que Kate abordait, Gillian n’avait pas trop loupé son effet. « Magnifique ! », renchérit la jeune femme, avant d’être interrompue par la voix de William, venant de l’étage du dessous. « Bon les filles, vous voulez bien vous dépêcher, on attend plus que vous » Les deux jeunes femmes jetèrent un bref coup d’oeil à l’horloge, avant de pouffer de rire ; elles avaient abusés au niveau du temps, mais quelque part, ces messieurs allaient être les premiers à pouvoir en profiter.

Et Gillian pu en savourer complètement l’effet lorsqu’elle descendit les marches après Kate. Elle ne pouvait dérocher ses yeux de William, qui semblait apprécier le spectacle qu’elle lui offrait ; la jeune femme avait clairement posé toutes ses cartes sur la table, essentiellement pour profiter de cette soirée ensemble en tant que couple. Elle n’avait plus eu cette chance depuis trop longtemps et elle comptait bien en profiter jusqu’au bout de la nuit. Voir le désir dans ses yeux avait quelque chose de grisant. Elle se saisit de sa main pour descendre les dernières marches de l’escalier, toujours sans quitter son sourire énigmatique. Et sans plus de cérémonie, il l’entraina à l’écart. « Tu es sublime, Gillian » « Je voulais faire un petit effort pour marquer le coup. », répondit la jeune femme en se mordant la lèvre. Elle sentait qu’il la serrait un peu plus fort contre lui, accentuant la pression de ses mains contre son dos, calant sa tête contre la sienne dans un geste qui leur était caractéristique. Les habitudes étaient revenues bien vite. « Tu vas faire tourner toutes les têtes et tu vas devoir passer la soirée à recadrer tes prétendants, tu es sûre que tu ne veux pas qu’on reste ici, juste toi et moi ? On pourrait boire du vin en refaisant le monde et ensuite je t’enlèverai cette magnifique petite robe pour achever de te faire passer une soirée inoubliable. » Oh, il commençait déjà. C’était terriblement tentant d’accepter cette proposition, de finir sous la couette cette soirée. Mais Gillian résisterait, il n’allait pas encore une fois faire l’impasse à une sortie. Elle secoua la tête, sans quitter son sourire mutin. « C’est une proposition terriblement tentante, mais j’ai envie de danser ce soir et je suis sûre qu’une fois que j’aurais commencé, tu ne pourras pas résister à l’envie de venir me rejoindre. Et puis, rien ne nous empêche de conserver ces plans-là pour la fin de soirée… » Elle sent ses mains descendre alors qu’il insiste un peu plus sur ses fesses. Mon dieu, il allait vraiment finir par la faire craquer, pourquoi est-ce que ce soir il était aussi insistant ? La jeune femme sentait déjà ses joues se colorer, elle n’était que trop réceptive à ses avances. « A vrai dire, je ne sais pas comment je vais faire pour me retenir pendant toute la soirée de t’arracher tes vêtements. » Le regard de Gillian vire d’un coup d’un seul, chargé de désir dans une pièce ou ils n’étaient que trop nombreux. Elle voulait juste l’attraper par la nuque, l’embrasser à pleine bouche tandis qu’il la hisserait autours de ses hanches. Le désir était trop fort. « Bon les enfants, il est l’heure d’y aller ou bien vous aller vous reproduire sur place ! »,  lança Jay en entrainant Kate et Alex vers la sortie. En trois enjambées, Gill les rejoins, sentant l’air froid de la nuit contraster avec ses joues encore roses et chaudes. Bon sang, il avait faillis gagner. Et même dans la voiture mise à disposition, assise à côté de William, la jeune femme sentait cette tension plus forte que jamais. La nuit allait être longue, et une fois arrivée dans la discothèque, Gillian attrapa instinctivement le bras de Kate. « Qu’est-ce qu’on boit ? » Kate roula les yeux, mi-surprise et mi-amusée, « Une soudaine envie de dépasser les limites Gillian ? » « J’aurais plutôt tendance à dire que je fais ça pour me freiner. » Kate poussa un soupir, « Se freiner, c’est mal. Mais si tu insistes, je vais te chercher un truc au bar. Quelque chose de fort je suppose ? » A peine eu-elle laissé Kate s’occuper des boissons qu’elle croisa le regard de William, non loin comme à son habitude. Elle connaissait bien ce regard, et n’en attendait pas moins de sa part. Toujours dans le contrôle, dans la protection, surtout quand il s’agissait d’elle. « Allez, on se détend. C’est juste un verre, ça ne va pas me faire de mal. »
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William K. Standford
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyVen 25 Mar - 22:08



❝Come on baby, light my fire
Try to set the night on fire❞
William & Gillian
Gillian était d’une beauté à couper le souffle dans sa petite robe noire élégante au décolleté émoustillant sans être vulgaire. Déjà, Will la dévorait des yeux, le contraste de sa peau blanche avec le noir de jais de sa robe accentuait son côté reine de la nuit. Sa robe près du corps mettait en valeur son buste, sa taille et ses superbes et interminables jambes. La plus belle surprise ne se dévoila que lorsqu’il passa les mains dans le bas de son dos pour tomber directement en contact avec sa peau. Surpris, il la fit se retourner pour observer le magnifique dos-nu qu’elle arborait. Nul doute qu’avec ça elle allait faire tourner des têtes. « Je voulais faire un petit effort pour marquer le coup. » William afficha un petit sourire en coin. « Tu as fais bien plus qu’un petit effort, tu t’es surpassée. Tu es à tomber par terre. » N’ayant aucune envie de se rendre en night club, Will alla jusqu’à proposer à sa petite amie de se débarrasser gentiment des autres pour profiter de la soirée à deux, annonçant déjà un corps à corps torride. « C’est une proposition terriblement tentante, mais j’ai envie de danser ce soir et je suis sûre qu’une fois que j’aurais commencé, tu ne pourras pas résister à l’envie de venir me rejoindre. Et puis, rien ne nous empêche de conserver ces plans-là pour la fin de soirée… » William ne s’avouait pas vaincu pour autant, il allait la travailler au corps jusqu’à ce qu’elle craque, en commençant par glisser lentement les mains du bas de son dos vers ses fesses. Ce qu’il lui confia ensuite était de toute façon la pure vérité : il contenait déjà l’irrépressible envie de lui enlever ses vêtements. Il su que sa réplique avait fait mouche à l’instant où il vit le rose monter aux joues de sa petite amie. Touché ! « Bon les enfants, il est l’heure d’y aller ou bien vous aller vous reproduire sur place ! », lança Jay. Will soupira en levant les yeux au ciel, de quoi se mêlait-il celui là. Il était tout près de convaincre Gill de laisser partir les autres et de rester avec lui dans le confort de leur appartement et avec à portée de main un whisky 12 ans d’âge et un délicieux Sancerre. Au lieu de cela il allait devoir avaler des verres vodka ou un bourbon bon marché en se trémoussant sur une piste collé à des inconnus moites de sueurs. Rien dans cette soirée, si ce n’est le fait d’attirer les convoitises avec une si jolie femme à son bras, ne le motivait vraiment. Il accepta l’échec de mauvaise grâce mais il n’avait pas le choix, il allait devoir suivre le groupe. Résigné, il entra dans la voiture qui devait les conduire dans un night club de Manhattan.

Arrivés dans le Night-Club, ils se débarrassèrent de leurs manteaux au vestiaire et se dirigèrent vers le bar. Il y avait un monde fou, la piste était bondée et les gens s’agglutinaient au bar pour commander leurs boissons. Une salle surchauffée, la promiscuité : en somme, tout ce que William détestait. Il faut dire qu’il était plutôt habitué au confort du carré VIP. « Qu’est-ce qu’on boit ? » , lança Gillian, visiblement motivée. Oh oh, en voilà une qui commençait fort, il allait devoir garder un œil sur la jolie blonde. « Une soudaine envie de dépasser les limites Gillian ? » « J’aurais plutôt tendance à dire que je fais ça pour me freiner. »  « Se freiner, c’est mal. Mais si tu insistes, je vais te chercher un truc au bar. Quelque chose de fort je suppose ? » Remarquant l’air air réprobateur de son petit ami, Gill sembla décidée à le taquiner un peu. « Allez, on se détend. C’est juste un verre, ça ne va pas me faire de mal. » William leva les yeux au ciel, encore une fois, il n’avait d’autre choix que de s’adapter, ils n’étaient pas venus là pour boire un jus de canneberge.  « Peut-être, mais quelque chose me dit que ça ne sera pas le seul » , grommela t-il. Kate et Gillian semblait déterminées à ne pas « se freiner » dans leur consommation, d’alcool et Jay comme d’habitude ne lésinerait pas non plus pour se donner du courage avant d’aller draguer la première minette venue. Il ne restait qu’Alexander dont il ne connaissait pas encore les intentions pour la soirée. Il doutait cependant qu’il se remette dans le même état qu’à son anniversaire devant Kate. S’il acceptait les choses parce qu’il n’avait pas le choix, William, comme à son habitude, préféra prendre les commandes des opérations et rattrapa sa sœur. « Kate, attend, je vais commander une bouteille de vodka pour tout le monde, ça ira plus vite. Si on attend tous d’être servis pour pouvoir commencer la soirée on n’a pas fini. » Heureusement pour lui, contrairement à sa sœur il était grand, et son physique lui permettait d’accéder plus facilement au bar, sans compter que la barmaid semblait l’avoir repéré. « Une bouteille de vodka, une bouteille de jus de pommes, cinq verres et une bouteille d’eau glacée » [/color]lança t-il, autoritaire, à la barmaid en se penchant à son oreille pour se faire entendre dans le vacarme ambiant. La jeune femme acquiesça et parti préparer sa commande. Elle lui tendit la bouteille de vodka avec un clin d’œil tandis que les autres récupéraient le reste. Il était plus whisky que vodka mais en tant que véritable amateur, il ne pouvait pas supporter de boire le mauvais bourbon servi en boîte de nuit, il optait donc pour la vodka, sans doute le seul alcool fort qui pouvait passer auprès de tout le monde. Il paya et parti les rejoindre, surpris que ses amis aient pu récupérer une table avec le monde qui se pressait dans cette boite. Il servit à chacun l’équivalent d’un shooter de vodka et ils trinquèrent tous ensemble avant de boire. Il avait eu raison de ne pas  prendre le bourbon, il sentait déjà que la vodka était dégueulasse, mais les autres semblaient ne pas s’en formaliser. Visiblement tout le monde buvait pour être saoul ce soir, la qualité de l’alcool n’avait aucune importance, seul son degré comptait. La soirée promettait d’être longue.
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMer 30 Mar - 22:05



 
imagine-toi t’es là en train de te reprendre un verre au bar
, quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Gillian avait toujours eu une préférence pour la simplicité ; elle n’était jamais véritablement apprêtée de façon sophistiquée mais cette fois, elle avait décidé de mettre les petits plats dans les grands et de sortir la petite robe qui trainait depuis trop longtemps au fond de son placard. Elle était assez satisfaite de l’effet qui en ressortait, elle pouvait voir dans son regard qu’il n’était pas indifférent à son apparence. Gillian n’en pouvait plus de devoir se contenir dans leur appartement, de ne pas pouvoir s’afficher en public à ses côtés. Elle sentait avec satisfaction ses mains glisser dans son dos et rencontrer sa peau chaude. La surprise pouvait se lire sur son visage, il ne s’y attendait pas. « Tu as fais bien plus qu’un petit effort, tu t’es surpassée. Tu es à tomber par terre. » Elle baissait les yeux, modestement. Elle aimait pouvoir être à la hauteur, continuer à le surprendre malgré le temps qui passe. Elle devait cependant lutter contre les tendances premières de William, à savoir ne pas bouger de sa zone de confort et à se terrer dans son appartement. Elle avait lutté pendant beaucoup trop longtemps pour le tirer de là, hors de question qu’il replonge dès qu’elle a le dos tourné. Ils allaient tous sortir ce soir et il suivrait avec le reste du groupe ! William avance cependant des arguments de plus en plus convaincant et la jeune femme ne devait plus trop trainer dans l’appartement au risque de le voir gagner cette nouvelle bataille. Heureusement pour elle, Jay vint rapidement à son secourt, avec son tact habituel, et Gillian profita de cette occasion inespérée pour s’éclipser en compagnie de Kate. C’était encore beaucoup trop dur pour elle de résister à William pour ce genre de chose et à lui refuser une soirée en tête à tête dans l’intimité la plus totale.

Mais une fois arrivée dans le Night-Club, la jeune femme se félicita d’avoir poussé William pour cette soirée ; même si l’endroit ne payait pas de mine, la musique donnait déjà envie à la jeune femme de danser. Avant de se lancer, un petit verre quand même s’imposait, histoire de se lancer en piste et de donner le ton de cette soirée. Si les garçons étaient encore relativement peu motivé à l’idée de passer la soirée ici pour la plupart, les filles étaient quand à elle survoltée et la jeune femme était comblée à l’idée de voir que Kate avait autant envie de s’amuser qu’elle ce soir. Et en parlant de s’amuser, Gillian avait déjà envie d’entrainer Kate, sa partenaire de crime de ce soir, dans les premiers verres de la soirée, sous le regard très peu probateur de William. « Peut-être, mais quelque chose me dit que ça ne sera pas le seul » Gillian arqua un sourcil, consciente que William aurait pu la remballer beaucoup plus sèchement, appréciant l’effort qu’il faisait en ce moment. Elle lui décrocha son plus beau sourire, pour essayer de mieux faire passer la pilule. « Je partagerai mes verres avec toi, t’en fais pas. » , répondit-elle en se doutant bien que cette excuse était bien trop maigre pour suffire. William décida cependant de prendre en main les commandes, décidément il devait toujours être au minimum dans le contrôle, même dans ce genre de soirée. Gillian suivit donc à la table, toujours accolée à Kate et les deux jeunes femmes s’enfilèrent d’une traite les shoots de vodka. Le premier passa difficilement et la jeune femme grimaça, avant d’en porter un deuxième à ses lèvres. Elle hésita pour un troisième, mais consciente de provoquer un incident diplomatique avec William à sa gauche, elle préféra laisser les deux premiers faire effet. Kate attrapait déjà sa main. « Vous dansez, belle blonde ? » s’exclama-elle entrainant Gillian sur la piste de danse, sous les éclats de rire de cette dernière. Les deux jeunes femmes avaient besoin de se changer les idées, d’étrenner leur belles chaussures tout en se laissant aller sur la musique. Kate savait mettre de l’ambiance, et Gillian suivait toujours. Leurs humeurs se complétaient à la perfection. Les premiers effets des shoots semblaient cependant davantage présent chez Kate, qui bouscula sans le vouloir un homme, « Faites un peu attention ! », commença une voix agressive, avant de se radoucir complètement, « Excuse-moi, je n’avais pas réalisé que je venais de me faire bousculer par la plus belle femme de la soirée. » « Et moi donc, si j’avais su que j’étais rentré dans le lourdeau de service, je me serais bien abstenu. Viens Gill, on s’en va. », conclut Kate d’un ton cérémonieux, tandis qu’on lui barrait déjà le passage. « On peut quand même danser un peu, non ? » « Non merci. » « Allez, t’as peur de quoi ? » « Elle t’a dit qu’elle n’avait pas envie, alors maintenant fiche-nous la paix et va voir ailleurs si on y est. » répondit cette fois Gillian a qui l’alcool semblait avoir donné des ailes.
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyLun 4 Avr - 23:13



❝Come on baby, light my fire
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William & Gillian
Si William et Alexander traînaient les pieds, il en était tout à fait autrement pour les filles qui semblaient plus motivées que jamais à faire la fête. Jay, quant à lui, restait fidèle à lui-même, prêt à saisir la moindre occasion de ramener une femme dans son lit. William avait bien comprit que Kate et Gill avaient la ferme intention de profiter de la boisson et la perspective de faire le chaperon ne l’enthousiasmait pas plus que cela. « Je partagerai mes verres avec toi, t’en fais pas. », lança Gillian, consciente de l’effort du jeune homme pour ne pas sombrer dans le cynisme. William pinça les lèvres mais conserva le silence, il allait bien voir comment allait tourner la soirée. Refusant de laisser les commandes à Kate, il commanda de lui-même une bouteille de vodka et le groupe parti s’installer une banquette au fond du Night-Club. Ils burent un premier verre et William observa sans un mot Gill et Kate s’enfiler un second verre que Kate n’hésita pas à accompagner d’un troisième. Will lui jeta un regard noir mais Kate ne le remarqua même pas et entraîna la jolie blonde sur la piste de danse. Les garçons restèrent un moment à table, discutant de tout et de rien tout observant de loin les deux jeunes femmes. Elles étaient deux jolies filles dans une boîte emplie de mâles en rut qui n’avaient qu’une seule idée en tête : s’envoyer en l’air avec la plus sexy qu’ils puissent trouver. Même Jay, d’habitude d’humeur légère et insouciante, surveillait sa sœur du coin de l’œil.

L’incident avec l’homme n’échappa à aucun d’entre eux, Will fut le premier à réagir lorsqu’il vit Kate essayer d’éloigner Gillian du grand brun tandis qu’il se plaçait devant elles pour leur barrer la route. Ni une ni deux, son sang se glaça, sa mâchoire se contracta et il s’élança sur la piste, suivi des deux autres. « Elle t’a dit qu’elle n’avait pas envie, alors maintenant fiche-nous la paix et va voir ailleurs si on y est. » Wow, Gillian sortait les griffes, malgré son agacement, Will ne pu s’empêcher de penser qu’elle était encore plus sexy lorsqu’elle jouait à la tigresse. « C’est quoi le problème. » « Il n’y a aucun problème, monsieur allait s’en aller. », répondit Kate,  irritée par l’intervention de son frère. « T’es qui toi ? » demanda le grand brun qui visiblement n’avait pas du tout l’intention de s’en aller. « Je suis son frère, et le petit ami de la jolie blonde. Et lui c’est le copain de la brune alors tu vois, y’a pas de place pour toi ici. » répondit Will en désignant Alexander et en se plaçant entre les filles et l’homme dans une attitude protectrice, fixant l’homme droit dans les yeux. « Hey, ça va mon vieux, je pouvais pas savoir. C’est pas de ma faute si elles allument les mecs avec leurs petites robes moulantes sur la piste de danse, c’est une invitation. » Will attrapa l’homme par le col, le fit reculer de force pour sortir de la foule et le plaquer contre le mur d’en face. « Elles s’habillent comme elles veulent, elles dansent comme elles veulent, c’est pas une raison pour leur manquer de respect. » Déjà un petit groupe s’était formé autour d’eux, les amis de l’homme avaient accouru en demandant ce qu’il était en train de se passer. « Laisse tomber Will, il n’en vaut pas la peine », intervint Alexander qui savait que la situation pouvait tourner au vinaigre. Réalisant qu'Alexander avait raison tout ceci pouvait se terminer en bagarre générale, Will lâcha l’homme mais resta face à lui, le regard menaçant. Le type s’éloigna avec ses amis, en vociférant. « C’est quoi ton problème Will ! Il faut toujours que tu fasses une scène pour faire ton mâle dominant, on s’en sortait très bien sans toi ! », lança Kate en se plantant devant son frère. « Arrête avec ton obsession du contrôle, cesse de vouloir faire que tout le monde se comporte comme toi tu voudrais qu’ils se comportent ! Tu m’étouffes, tu étouffes tout ceux qui t’entourent, est-ce que tu t’en rends seulement compte ?! » William, qui jusque là était resté silencieux, surpris par la réaction de sa sœur alors qu’il venait d’intervenir pour la défendre et prit de court par l'injustice de la situation, parvint enfin à réagir. « Je n’aurais pas eu besoin d’intervenir si tu avais fais un peu attention, ne reporte pas sur moi l’inconscience de ton comportement. » Kate restait plantée devant lui, les poings serrés, ses yeux bruns brillants de colère, prête à en découdre Elle ne faisait pas le poids face à lui, mais elle lui tenait tête sans avoir peur. « L’inconscience de mon comportement ! Non mais j’hallucine ! On ne faisait que danser, y’a rien de mal à ça ! C’est pas de ma faute si ce type c’est pointé, on le lui a rien demandé ! Si tu penses qu’on l’a provoqué alors tu ne vaux pas mieux que lui ! » « Tu es ivre Kate, aucune de vous deux ne fait le poids face à lui, je sais mieux que personne que dans cette situation il faut intervenir tout de suite ! » « Oui j’ai bu et alors, je sais très bien ce que je fais ! C’est pas moi qui ai un problème avec l’alcool, William ! Je ne fais que m’amuser et je ne risque pas de sombrer dans l’addiction alors surveille d’abord ta consommation à toi au lieu de me faire la morale. » Will resta silencieux, pétrifié par la violence des mots et des insinuations de Kate. Un lourd silence s’installa, tous était incapables de réagir face à cette déflagration. Ce fût finalement William qui reprit le premier la parole, sur un ton calme et glacial, celui que Gillian seule connaissait, celui qui dissimulait une profonde blessure et qui voulait se défendre en blessant à son tour. « Tu ne sais rien de ce que j’ai vécu. Tu prétends me connaitre alors que ça fait à peine un an que je suis réapparu dans ta vie. Moi en revanche je te connais, je sais que la chose la plus douloureuse que tu aies vécu c’est de t’être faite été larguée par ton petit ami il y a deux an. Tu n’as jamais perdu personne, tu n’as jamais manqué de rien, tu n’as jamais été seule. Tu es une gamine pourrie gâtée qui clame haut et fort qu’elle peut se débrouiller seule alors qu’elle n’a jamais été confrontée à aucune difficulté. Tu te permets de juger de ton piédestal sans jamais chercher à savoir ce qui a fait des gens ce qu’ils sont. Oui, j’ai eu un problème avec l’alcool, mais tu es bien trop centrée sur ta petite personne pour essayer de comprendre pourquoi j’en suis arrivé là. » Devant son attitude tendue et ses yeux bleus glacials, Kate senti pour la première fois la violence qu’il y avait en son frère adoptif et sous la menace, elle recula d’un pas. Avait-elle également perçu la souffrance que dissimulait cette attitude ?  Peu lui importait désormais, il avait dit ce qu’il avait à dire. Sans ajouter un mot il fit demi-tour. « Will… », intervint Alexander en posant la main sur son épaule pour le retenir, lui qui savait ce que ça impliquait pour lui d’avoir lâché ces mots. William dégagea son épaule et s’éloigna, peu importe ce que pensait Kate, il avait besoin d’un verre. Il retourna s’asseoir à la table, saisit un verre en plastique qui aurait du être utilisé pour une vodka-pomme et se servit la moitié du verre de vodka pure qu’il avala d’un trait. Il reposa le verre en grimaçant, Kate voulait qu’il cesse de vouloir tout contrôler ? Elle allait être servie...
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMer 13 Avr - 21:10



 
imagine-toi t’es là en train de te reprendre un verre au bar
, quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Gillian n’avait jamais véritablement senti le besoin de flirter avec les limites. Elle était toujours dans la mesure, mais beaucoup moins dans le contrôle que son petit-ami et cela pouvait se comprendre. La jeune femme n’avait jamais repoussé les limites comme il avait pu le faire, elle était d’ailleurs beaucoup plus insouciante que lui à ce sujet. Elle n’hésitait pas à profiter de cette soirée pour s’en donner à coeur joie à danser sur la piste, cette en tenue plus que suggestive, mais qu’elle avait mis sur son dos uniquement pour attirer le regard de son petit-ami. Elle voulait que cette soirée soit la leur et qu’ils puissent se retrouver en dehors de leur quotidien particulier. Elle pouvait se comporter comme n’importe quelle petite-amie, elle ne devait pas se méfier d’un paparazzi embusqué au coin d’une rue, redouter une prochaine une dans les journaux,… Ce soir elle était libre d’être sa petite amie. Et cela impliquait qu’il était aussi libre d’être son petit-ami et d’agir comme tel. Il ne manqua donc pas d’intervenir lorsque les deux jeunes femmes se trouvèrent un bref instant en difficulté. Gillian avait déjà sorti les griffes, déjà bien désinhibée par l’alcool. Elle voyait déjà la silhouette de William s’interposer entre eux, elle n’avait jamais osé le lui avouer mais elle adorait le voir aussi possessif et protecteur. Elle avait de la valeur à ses yeux, c’était indéniable. Elle regardait la scène de loin, restant auprès de Kate, laissant les hommes se mêler de la situation. Elle eut cependant un bref moment de panique lorsque Will empoigna ledit trouble-fête. Elle se précipitait déjà avec Kate pour le retenir, rapidement rattrapée par Alexander qui semblait visiblement avoir la situation sous contrôle. C’était sans compter sur Kate, qui ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire. « C’est quoi ton problème Will ! Il faut toujours que tu fasses une scène pour faire ton mâle dominant, on s’en sortait très bien sans toi ! » Gillian avait posé une main sur l’épaule de Kate, rapidement repoussée par cette dernière. Elle assistait impuissante à une véritable montée en puissance dans cet affrontement, et ne cessait de jeter des regards inquiets à Alexander qui tendait également de son côté de tempérer Kate. Mais rien à faire, ces deux-là étaient de la même école, et aucun des deux ne reculerait. « Tu ne sais rien de ce que j’ai vécu. Tu prétends me connaitre alors que ça fait à peine un an que je suis réapparu dans ta vie. Moi en revanche je te connais, je sais que la chose la plus douloureuse que tu aies vécu c’est de t’être faite été larguée par ton petit ami il y a deux an. Tu n’as jamais perdu personne, tu n’as jamais manqué de rien, tu n’as jamais été seule. Tu es une gamine pourrie gâtée qui clame haut et fort qu’elle peut se débrouiller seule alors qu’elle n’a jamais été confrontée à aucune difficulté. Tu te permets de juger de ton piédestal sans jamais chercher à savoir ce qui a fait des gens ce qu’ils sont. Oui, j’ai eu un problème avec l’alcool, mais tu es bien trop centrée sur ta petite personne pour essayer de comprendre pourquoi j’en suis arrivé là. » Gillian connaissait trop bien ce ton froid, mais ce regard qui ne pouvait pas tromper. Il était en train d’appeler à l’aide, mais visiblement Kate était trop en colère pour le voir. Elle jeta un rapide coup d’oeil à Alexander, lorsque William s’éloigna de son côté et Kate du siens. Kate avait reculé devant William, c’était un geste qui était lourd de conséquence pour William. « Occupe-toi de Kate, je me charge de William. »

C’est sans surprise qu’elle le trouva attablé, en train de boire. Elle n’allait pas lui ôter son verre des mains et en lui faisant la morale. Ce n’était pas la meilleur solution. Kate avait touché un point sensible et Gillian savait qu’elle allait devoir user de patience et de bonne volonté pour réussir à le remettre sur les rails de la soirée. Elle ne comptait cependant pas baisser les bras. Elle arriva à sa hauteur, la démarche légèrement chaloupée par l’alcool. « Tu me fais une petite place ? » susurra-elle de sa petite voix presque enfantine. Il était énervé certes, mais pour une fois ce n’était pas contre elle. Avant qu’il ai eu le temps de se dégager, elle se glissa sur ses genoux, profitant de l’occasion pour se lover contre lui en glissant sa tête dans sa nuque, dérobant au passage un baiser. Il sentait déjà l’alcool, mais heureusement pour lui, aucune trace de tabac n’était à relever. « Elle n’a pas été très maligne pour le coup, c’est indéniable. Mais je pense que vous hurler dessus n’arrangera rien, du moins pas ce soir, pas dans cet état. Si vous avez envie de parler de ça à tête reposée ensemble, faite-le demain autours d’un bon verre d’aspirine, non ? Ce soir on est là pour danser et pour s’amuser. » Gillian s’était redressée sur les genoux de William, une lueur étincelante dans les yeux, « J’ai envie de danser. » murmure-elle en essayant d’entrainer William en tirant son bras. Mais plus bourru que jamais et décidé à ne pas bouger d’un poil, il resta assis, ne faisant même pas mine de bouger. La jeune femme ne se démontait pas pour autant. Si William n’avait pas envie de bouger et de retourner sur le dancefloor, c’est le dancefloor qui allait venir à lui. Toujours assise sur ses genoux, la jeune femme se laissait doucement balancer au rythme de la musique, laissant ses hanches attraper le rythme. Plus le temps passait et plus elle en accentuait les mouvements, savourant pour elle-même les effets de cette petite danse improvisée, se félicitant d’avoir opté pour une robe laissant une telle vue sur son dos. Cédant à l’appel de la musique, elle se lève, sans bouger de devant William, sans s’arrêter de danser. Se saisissant du verre de William, elle avale la fin d’une traite, avant de le regarder droit dans les yeux et de lui décrocher son plus beau regard de braise. « Allez William, tu n’as pas envie de me faire danser. Moi j’ai très envie de danser ce soir. »
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptySam 16 Avr - 13:54



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Try to set the night on fire❞
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La situation lui semblait terriblement injuste. Il était intervenu pour défendre Kate et Gillian et leur permettre de se débarrasser d’un lourdaud qui s’apprêtait à leur gâcher une bonne partie de la soirée à na pas vouloir leur lâcher la grappe. Certes, il y avait toujours ce côté possessif et protecteur en lui mais il ne pensait pas à mal et il n’avait pas pour autant mal interprété une situation puisque l’homme était effectivement en train d’ennuyer les deux jeunes femmes. La gifle qu’il venait de prendre de la part de sa sœur l’avait déstabilisé parce qu’il n’avait pas compris sa réaction, pourquoi tant de reproches alors qu’il n’avait fait qu’intervenir pour leur rendre service et que contrairement à ce qui aurait eu lieu des mois plus tôt, il ne s’était pas battu et avait su s’arrêter à temps. Cette réaction, il l’avait vécu comme une agression et qui mieux que Gillian savait que lorsque le jeune homme était blessé, il préférait blesser à son tour et se refermant dans une attitude glaciale et en essayant à son tour de faire mal. C’était son moyen de se protéger, sa façon de dissimuler ses émotions. Il avait apprit dans la rue à frapper pour ne pas être frappé, à mordre lorsqu’il se sentait en danger. Les reflexes qu’il avait acquis dans cette partie de sa vie ne disparaitraient sans doute jamais, c’était trop encré en lui, c’était ce qui lui avait sauvé la vie maintes fois. La personne à en faire les frais n’était pas Gill, c’était Kate, qui avait entrevu pour la première fois la violence qu’il y avait en son frère. Elle ne se doutait absolument pas de ce qu’il avait vécu, de ce qui l’avait traumatisé au point de faire de lui l’homme taciturne et renfermé qu’il avait été jusqu’à ce que Gillian fasse à nouveau entrer la lumière dans sa vie. Encore aujourd’hui il restait des séquelles de cette vie, William ne serait jamais le même qu’autrefois, il était bien trop marqué par ses années de violence, mais il se sentait la force de vivre normalement avec Gillian à ses côtés, grâce à elle il avait de vraies perspectives d’avenir. Le mettre face à ses problèmes d’alcool revenait à le réduire à ce qu’il avait été sans prendre en compte tous les progrès accomplis. Kate ne connaissait les problèmes de Will avec l’alcool que parce qu’un jour il avait accepté de lui en parler (en omettant tous les « détails » qui faisaient de lui quelqu’un de peu fréquentable à l’époque). Voir qu’aujourd’hui elle se servait de ses confidences pour le blesser était horriblement difficile à supporter. Assis à la table, il s’enfila cul sec la quasi-totalité d’un grande verre de vodka. Il n’avait plus rien à perdre désormais, il pouvait boire toutes les quantités d’alcool qu’il voulait, sa famille le prenait déjà pour un alcoolique.

« Tu me fais une petite place ? » Gillian était à ses côtés et avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, elle se retrouva sur ses genoux, lovée contre lui et profitait de l’instant pour l’embrasser. « Elle n’a pas été très maligne pour le coup, c’est indéniable. Mais je pense que vous hurler dessus n’arrangera rien, du moins pas ce soir, pas dans cet état. Si vous avez envie de parler de ça à tête reposée ensemble, faite-le demain autours d’un bon verre d’aspirine, non ? Ce soir on est là pour danser et pour s’amuser. » William soupira, Gill avait toujours eu le don pour le calmer et déjà il se sentait plus serein maintenant qu’il la serrait dans ses bras. « Je suis désolé que tu aies eu à assister à cela », s’excusa t-il. Il ne voulait pas gâcher la soirée de sa petite amie alors qu’elle était venue pour faire la fête, mais il n’était pas non plus dans son tempérament de se laisser faire sans réagir alors que sa sœur appuyait délibérément là où ça faisait mal. Il savait qu’elle avait raison et que Kate et lui devraient reparler de cette dispute mais dans le calme et après avoir pris un peu de recul sur les choses. D’autant que les disputes familiales avait un certain écho dans le passé de Gill et pouvait lui rappeler de vieilles blessures. Le voir se disputer avec sa sœur les observer se faire du mal alors qu’il avait la chance d’avoir une famille unie, devait être difficile pour elle aussi. « J’ai envie de danser. », reprit la jeune femme en le tirant par le bras pour qu’il se lève, mais William ne bougea pas, après ce qu’il venait de se passer, il n’était pas vraiment d’humour à se défouler sur le dancefloor. Elle se met alors à bouger sur lui, d’abord discrètement puis beaucoup plus sensuellement. Il lui jette un œil surpris, elle l’étonne toujours quand elle se dévergonde de cette manière, elle était loin la jeune femme de la rue qui rasait les murs parce qu’il l’intimidait et qui n’avait connu aucune expérience de femme. Elle ne s’arrête pas là, comme pour achever de le convaincre, elle se lève et danse devant lui, laissant ses hanches rouler au rythme de sa musique, se tournant parfois dos à lui pour qu’il puisse mieux profiter de la vue plongeante dans son dos nus, ou de face pour qu’il puisse regarder plonger dans ses yeux de braise. Ultime provocation, elle finit le verre qu’il avait entamé et s’essuie sensuellement le bord des lèvres. Bon dieu cette femme allait le rendre fou, et le mieux dans tout ça c’est qu’elle était à lui, uniquement à lui. « Allez William, tu n’as pas envie de me faire danser. Moi j’ai très envie de danser ce soir. » Elle l’a eut et elle le sait, son petit sourire en coin en témoigne, à la seconde où elle a commencé son numéro de séduction il avait succombé. Elle sait aussi que lorsqu’elle lui demande quelque chose, il ne peut pas la lui refuser. Il se lève, porte la bouteille de vodka à ses lèvres, un air de défi dans le regard, et avale plusieurs gorgées. Ses yeux brûlants ne quittent pas les siens lorsqu’il pose ses mains sur ses hanches et qu’il vient chercher ses lèvres pour lui offrir un baiser passionné et langoureux. Il se fiche bien des gens autour, c’est elle et lui et il veut profiter de sa soirée avec sa délicieuse petite-amie. « Viens avec moi », lâcha t-il en attrapant sa main pour la guider sur la piste de danse. Une fois sur place, il pose ses mains dans le creux des reins de la jeune femme et tous les deux se mettent à bouger au rythme de la musique. Gillian n'a jamais été aussi tentatrice. Il se penche à son oreille pour se faire étendre dans le vacarme de la musique. « Regarde-toi, elle est bien loin la jeune fille discrète et effrayée. Tu attires tous les regards.»
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMer 20 Avr - 22:30



 
imagine-toi t’es là en train de te reprendre un verre au bar
, quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Peu importe les efforts de la jeune femme, elle savait qu’il subsisterait toujours en William une part d’ombre, une part de lui sur laquelle elle ne pourrait jamais avoir aucun contrôle. Est-ce que Gillian en avait peur ? Non. Elle avait appris avec le temps à accepter cet aspect de sa personnalité, à s’en accommoder et à réussir à le tempérer du mieux qu’elle le pouvait. Cette noirceur faisait partie de lui, et même si depuis peu il arrivait à être une personne un peu plus lumineuse, il ne serait jamais complètement débarrassé de ce fardeau. Toutes ces années l’avent forgés au fer rouge et avaient laissés des empruntes aussi bien imprimées dans sa chaire que dans son coeur. Gillian n’avait pas la prétention de pouvoir faire disparaître toutes ces cicatrices, mais elle pouvait les panser en y consacrant toute son énergie et tout son coeur. Elle pouvait le rassurer dans ses moments d’hésitation, de doute, elle pouvait lui renvoyer tout le bien qu’il faisait autours de lui alors qu’il clamait être une mauvaise personne. En réalité, la jeune femme était l’incarnation même de tout le bien, de toute la gentillesse dont il était capable envers autrui ; elle n’avait pas non plus eu un parcourt facile, mais cela ne l’avait pas empêché d’être acceptée par William comme elle était, avec ses défauts et ses propres hésitations. Il l’avait reconstruit, en usant d’une patience à toute épreuve. Gillian n’était plus en mille morceau, elle était désormais faite de la roche la plus dure. Kate n’avait sans doute pas conscience de la maladresse dont elle faisait preuve, et la colère la faisait très certainement dire n’importe quoi. C’est ce que Gillian pouvait très facilement imaginer dans la bouche d’Alexander. Quand à William, son air froid et repoussant n’était qu’une façade qu’elle connaissait trop bien. C’était sa façon à lui, tel un animal blessé, de se protéger lorsqu’il était cruellement atteint. Et la jeune femme, grâce à son expérience à ses côtés, savait qu’il était inutile de prolonger le débat, au risque de le voir redémarrer au quart de tour. Si il voulait mettre les choses sur la table, il le ferait de lui-même.

Elle le convia donc à danser avec elle. Hors de question pour eux de passer à côté d’une soirée de ce genre, tout ça à cause d’une embrouille d’à peine quelques minutes. Et si la jeune femme était parfaitement consciente qu’elle aurait beaucoup de mal à le faire bouger de son fauteuil, elle ne baissait pourtant pas les bras et utilisait toute la persuasion dont elle était capable. Les effets de l’alcool jouaient dans son sens, elle se sentait plus libérée que jamais et n’avait plus aucune honte ou peur à se montrer désirable pour lui. Cette attitude se révéla payante et bientôt, il se leva pour la rejoindre, s’enfilant à son tour une dose supplémentaire d’alcool. Gillian n’allait pas l’empêcher, il avait aussi besoin d’évacuer la pression, de lâcher prise, car entre sa vie professionnelle et familiale peu singulière, il avait peu de temps pour penser réellement à lui. Et pourtant, la jeune femme avait réussi à trouver sa place, au creux de ses bras et dans sa vie. Elle se laissait guider par la musique et par la sensation de son corps contre le siens, n’écoutant que son désir ardent d’être la seule à attirer son regard ce soir. « Regarde-toi, elle est bien loin la jeune fille discrète et effrayée. Tu attires tous les regards.» Gillian se mordit la lèvre, il n’avait pas tord. Et en y réfléchissant un instant, elle se trouvait presque ridicule d’avoir un jour pu avoir autant d’inquiètude vis-à-vis de tout le bonheur qu’il pouvait lui apporter. Il avait toujours été bienveillant avec elle, tendre, sans forcément l’emprisonner dans une cage dorée. « Tant que celui que je veux attirer reste sur moi, le reste n’a pas d’importance. » lui souffla-elle à l’oreille sans arrêter de se déhancher. Elle se moquait du regard des autres, ce qui n’empêchait pas William d’avoir des petites poussées de jalousies. Mais Gilian pouvait aisément le comprendre, elle se manifestait de temps en temps comme femme jalouse. « Par contre, toi tu ne t’es jamais éloigné de l’image du beau brun insaisissable. Et il est temps que je fasse une petite piqure de rappel pour toutes les demoiselles ici présente. » Elle l’attrape par la nuque et dépose sur ses lèvres un baiser, qui ne fait que s’intensifier. Elle sent qu’il résiste lègèrement, encore dans le contrôle. Gillian laisse échapper un doux rire contre ses lèvres, « Arrête de réfléchir, Will. Ne me fais pas croire que tu n’en as pas envie, c’est faux. Personne ne nous connaît ici, on a le droit. On ne fait rien de mal. »
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyVen 22 Avr - 22:15



❝Come on baby, light my fire
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L’ambiance de la boîte de nuit était bruyante, les gens se serraient les uns contre les autres dans un mélange d’odeurs d’alcool et de sueur. Ce type de nightclub, William connaissait bien. Dans sa vie antérieure de chef de gang, il avait fréquenté beaucoup de boites de nuit comme celles-ci, finissant à chaque fois totalement ivre. Il se réveillait dans le lit d’une femme dont il se souvenait à peine des contours du visage, pas du tout du prénom et sans aucun souvenir de la fin de la soirée. Revenir dans ce type d’endroit le replongeait dans l’époque de ses abus, de sa perte de contrôle, il était donc sur ses gardes pour éviter tous dérapage et c’était bien le seul. Tous ici étaient venus pour se détendre mais lui ne parvenait pas à lâcher prise, à vivre le moment. Il fallut que Gill mette tous ses talents de séductrice à contribution pour qu’il daigne se lever du canapé et qu’il la conduise sur la piste de danse non sans auparavant s’être donné un peu de courage en avalant quelques gorgées de vodka. Il se mit à bouger sur la piste de danse, se faisant la remarque qu’après tout ce n’était pas si terrible que cela et que Gillian avait peut être raison : il avait besoin de lâcher prise. La jeune femme, quant à elle était particulièrement désirable à se mouvoir ainsi dans sa petite robe, elle attirait sans conteste les regards, de quoi rendre son petit ami possessif un brin tendu. « Tant que celui que je veux attirer reste sur moi, le reste n’a pas d’importance. », fit remarquer Gillian. « Bonne réponse. », répondit Will un petit sourire conquis au bord des lèvres. « Par contre, toi tu ne t’es jamais éloigné de l’image du beau brun insaisissable. Et il est temps que je fasse une petite piqûre de rappel pour toutes les demoiselles ici présente. » Qu’elle se rassure, il n’y avait aucun risque pour qu’il regarde ailleurs vu ce qu’il avait sous les yeux. Sans lui laisser le temps de régir, la jeune femme attrapa sa nuque pour venir l’embrasser d’un baiser fougueux et sans retenue, profitant de l’obscurité pour approfondir leur baiser. William y répondit bien sûr, il ne refusait jamais un baiser de la jolie blonde, qui, il fallait l’avouer était très douée dans l’art du baiser. Tendres ou passionnés, discrets ou langoureux, rapides ou prolongés ; ils le laissaient toujours pantois. Il ne peut cependant s’empêcher de rester dans la retenue et le contrôle, refusant de se livrer totalement. Gillian du le sentir parce qu’elle quitta ses lèvres en laissant échapper un petite rire moqueur. « Arrête de réfléchir, Will. Ne me fais pas croire que tu n’en as pas envie, c’est faux. Personne ne nous connaît ici, on a le droit. On ne fait rien de mal. » Elle n’avait pas tort et en même temps ce n’était pas tout à fait vrai. Kate, Jay et Alexander étaient dans le coin et le jeune homme avait toujours été très pudique en ce qui concernait les baisers langoureux devant sa famille. En revanche, sa petite pique avait eu l’effet escompté, oui il avait terriblement envie de l’embrasser et la voir aussi libérée faisait monter en flèche le désir du jeune homme, sans compter que l’alcool commençait à faire sérieusement effet. Ses mains remontèrent le long de des bras de la blonde sexy pour les détacher de son cou. Il entrelaça ses doigts dans les siens et vint coincer les bras de la jeune femme dans son dos à elle, la bloquant dans ses mouvements pour pouvoir la dominer pleinement. « Tu es sûre de vouloir jouer à ce jeu ? Parce que tu sais, si je laisse libre court à mes instincts primaires, tu vas finir par me supplier de quitter cette piste de danse que tu affectionnes tant pour un endroit plus intime… », la provoqua t-il en la regardant de ses yeux brûlants de désir. Refusant à son tour de laisser à la jeune femme le temps de reprendre ses esprits, il la colla contre lui, maintenant toujours ses bras bloqués dans son dos avant de lui jeter un regard provocateur pour glisser avec une lenteur délibérée ses lèvres dans son cou, frôlant d’abord délicatement sa peau de ses lèvres avant de la couvrir de baisers terriblement sensuels. Ses lèvres et sa langue titillaient sa peau parfois relayées par un très léger mordillement pour provoquer son désir. Il la sentit se débattre pour dégager ses bras mais il les maintint fermement bloqués dans son dos, il voulait qu’elle absorbe pleinement son désir sans avoir aucun moyen de s’y soustraire ou de contre-attaquer. Oh bien sûr qu’il allait la lâcher, il voulait juste la contraindre pendant quelques minutes et faire monter son désir. Il allait ensuite lui laisser les rennes, le jeu de séduction avait ses règles, il fallait y jouer à la loyale, au tour par tour. Elle aurait droit à sa revanche dès qu’il aurait terminé. Une lutte amoureuse avait commencé et elle se poursuivrait jusqu’à ce que l’un des deux finisse par succomber.
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyLun 2 Mai - 22:24



 
imagine-toi t’es là en train de te reprendre un verre au bar
, quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Même si les différentes péripéties qui avaient jalonnés leur vie de couple les avaient rendus plus proche l’un de l’autre, la jeune femme avait encore beaucoup de mal à montrer pleinement ses sentiments à son petit-ami ; non pas par manque d’envie, mais plutôt parce qu’elle était une bien piètre élève dans ce domaine. Elle était très mauvaise avec les mots, et parfois bien plus maladroite avec les actions. Mais avec le temps, elle avait appris à fondre son caractère dans le siens, et à voir qu’il n’était pas plus doué qu’elle dans ce domaine. Elle avait appris à le tempérer, il avait eu la patience de la rassurer. Ils s’étaient complété à leur façon, et aujourd’hui Gillian pouvait le clamer haut et fort : elle avait une confiance absolue en cet homme qui se tenait tout contre elle en ce moment. Elle aimait ce jeu qui s’était installé entre eux, ce mélange de fougue et de passion, comme une flamme qui refusait de s’éteindre entre eux. Ils ne se considéraient pas comme acquis et cette soirée était l’occasion ou jamais de raviver la flamme, de pousser le jeu un peu plus loin. Elle cédait une nouvelle fois à la tentation de l’embrasser, de laisser courir ses lèvres contre les siennes dans un baiser langoureux. Les frissons remontaient le long de sa colonne, comme pour lui rappeler qu’elle serait toujours sienne. Bon sang que c’était bon de pouvoir se lâcher de la sorte. C’était une liberté qu’elle n’avait plus eu depuis longtemps. Il n’allait pas lui résister, il ne pouvait pas lui résister et la jeune femme comptait bien mettre à disposition tous les atouts qu’elle possédait pour faire pencher la balance. Il n’avait jamais aimé ne pas avoir l’avantage, c’est pourquoi il reprit rapidement le dessus. Elle sentait son corps coincé contre le siens. Il fut un temps ou elle n’aurait pas pu résister à l’envie de se dégager, à s’enfuir en courant. Mais non, il n’en était rien, aujourd’hui elle aimait l’avantage qu’il pouvait avoir sur elle dans ce genre de situation. Complètement imbibée par l’alcool, perdue dans les méandre de son plaisir, la jeune femme se laissait totalement faire, inversant complètement la tendance. « Tu es sûre de vouloir jouer à ce jeu ? Parce que tu sais, si je laisse libre court à mes instincts primaires, tu vas finir par me supplier de quitter cette piste de danse que tu affectionnes tant pour un endroit plus intime… » La jeune femme déglutit difficilement, il voulait vraiment entrer dans son jeu ? Il voulait vraiment lâcher prise, lui qui aimait particulièrement tout contrôler ? Ou bien alors était-il en train de bluffer pour la pousser à reculer ? Il était bien mal partit, ce soir, Gillian avait envie de jouer. Le défiant du regard, elle sent ses lèvres glisser le long de sa mâchoire pour glisser dans son cou. Ses yeux se ferment instinctivement tandis que son dos s’arque. Bon sang, il était beaucoup trop doué pour lui faire perdre les pédales. C’était injuste, tellement injuste. Elle cherchait à se débattre, pour pouvoir reprendre un peu de consistance, d’avantage, mais il la maintenant fermement immobile. Elle sent le désir monter, encore et encore,…

Et il la relâche. Elle s’écarte, haletante, pantelante. Son regard défiait encore le siens, tu veux jouer Standford, et bien tu vas en avoir pour ton grade. Elle se rapproche de lui et continue sa danse lascive à ses côtés, insistant de plus en plus sur les mouvements de ses hanches contre les siennes, se laissant de plus en plus prendre au rythme, mais sans cette fois chercher ses lèvres. Elle laisse le langage du corps parler pour elle, elle laisse ses mains se perdre sur son dos laissé à vue, elle le laisse dévorer du regard chacun de ses mouvements. Elle glisse sa main dans la sienne, et la serre un peu plus fort. « Kate et Alex ne nous en voudront pas si on s’éclipse. Je suis même sûre qu’ils ne le remarqueront pas tellement ils sont occupés de leur côté. » C’était la toute première fois que William voyait Gillian dans cet état : désinhibée par l’alcool, elle laissait le désir et l’envie d’en finir illuminer complètement son visage, laissant ses joues se colorer de rose et son regard s’embraser. « Ne me dis pas non, Will. J’en ai envie, peut-être comme je n’en ai jamais eu envie avant. On s’éclipse, juste toi et moi. Oui, voilà, c’est de ça dont j’ai envie : juste toi et moi. »
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William K. Standford
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMar 3 Mai - 22:10



❝Come on baby, light my fire
Try to set the night on fire❞
William & Gillian
Ce qu’il pouvait se permettre de faire aujourd’hui, il n’aurait jamais pu le faire au début de leur relation. Si Gillian ne reculait pas lorsqu’il maintenait fermement les mains dans son dos, c’est qu’elle n’avait plus peur de lui. Il espérait l’avoir guérie de la peur des hommes, et lorsqu’il voyait à quel point elle se laissait aller avec lui, acceptant de lui laisser le contrôle sans la moindre tension dans les muscles qui trahirait une certaine appréhension, alors il voyait tout le chemin qu’ils avaient parcouru tous les deux. Ce soir Gillian était visiblement déterminée à le faire flancher. William n’était pas en reste et il voulait lui prouver que si elle savait lui faire tourner la tête et qu’elle le lui avait démontré à de multiples reprises, lui aussi était parfaitement capable de la rendre folle. Lorsqu’il plonge dans son cou, il sent qu’elle se raidit mais pas pour se débattre comme ça aurait pu être le cas à une époque, non, elle lutte pour ne pas sombrer et il sourit contre la peau tendre de sa gorge lorsqu’il sent sous ses lèvres son pouls s’accélérer. Elle n’a pas mis son parfum floral et discret habituel, elle porte un parfum plus sucré, plus envoûtant qui inspire la séduction et la confiance en soi. Décidément, elle n’arrêtait pas de le surprendre ce soir. Estimant qu’il avait suffisamment fait durer le plaisir et qu’elle avait un droit de réponse, Will quitte tout de même à regret son cou et la relâche. Elle s’écarte de lui et il affiche un sourire satisfait et arrogant lorsqu’il voit qu’elle a du mal à reprendre ses esprits : il sait qu’il a remporté une bataille. La jeune femme ne se reconnait pas vaincue pour autant et bientôt elle recommence à bouger contre lui de façon lascive. Son bassin se colle au sien, Will laisse aller ses hanches au rythme de celles de sa partenaire, son bras passe autour de sa taille pour la serrer contre lui et il plonge le nez dans ses cheveux, il n’aura décidément jamais assez de cette femme. Lorsqu’il accepte qu’elle s’écarte un peu c’est pour mieux regarder son dos nu, il ose même y laisser courir ses doigts redescendant lentement de la base de sa nuque jusqu’au creux de ses reins, à la limite du tissus. Ils restent ainsi à danser un bon moment, à se séduire par le langage du corps, sans rien se dire, sans non plus chercher à s’embrasser. Gillian n’a plus aucune retenue, et sa pudeur lui a été retirée par l’alcool, elle laisse parler son corps d’une façon lascive et un tantinet provocatrice sans pour autant être vulgaire. Aucune des femmes qu’il avait connu n’arrivait à trouver ce si juste et fragile équilibre entre sensualité et élégance. Finalement, elle se retourne vers lui et glisse sa main dans la sienne. « Kate et Alex ne nous en voudront pas si on s’éclipse. Je suis même sûre qu’ils ne le remarqueront pas tellement ils sont occupés de leur côté. » Sa demande sonne presque comme une supplication, il n’a jamais senti une telle urgence dans sa voix. « Ne me dis pas non, Will. J’en ai envie, peut-être comme je n’en ai jamais eu envie avant. On s’éclipse, juste toi et moi. Oui, voilà, c’est de ça dont j’ai envie : juste toi et moi. » « Je savais que tu ne pourrais pas me résister », répondit William en s’avançant sur elle pour prendre ses lèvres d’autorité avec une passion qui trahissait son désir à lui. Bien sûr qu’il n’allait pas lui dire non, il en avait au moins autant envie qu’elle. En vérité, elle l’avait eu aussi bien que lui l’avait eu.

« Viens, on rentre », acheva t-il avant de l’attirer hors de la piste de danse. Il repéra Alexander qui dansait avec Kate et posa une main sur son épaule sans jeter un regard à sa sœur, c’était encore trop tôt. « Gill et moi on rentre, on va prendre un taxi », prévint-il pour ne pas que son ami s’inquiète de leur disparition. Alexander acquiesça, sans faire de commentaire mais Kate, toujours ivre, cru bon d’intervenir. « Oh j’en connais qui vont s’envoyer en l’air vu comme ça se chauffait sur la piste ! » William ignora sa remarque et entraina sa petite amie vers les vestiaires pour récupérer leurs affaires. Une fois dehors, ils se mirent en quête d’un taxi, hors de question d’appeler Owen à cette heure-ci alors qu’il se trouvait avec ses filles. Heureusement pour eux, ils ne tardèrent pas à trouver un taxi libre et s’y engouffrèrent. Will donna l’adresse à chauffeur et sans plus attendre il piégea Gillian dans une nouvelle immobilisation en bouclant sa ceinture et en se penchant sur elle : elle était à sa merci et en sécurité en même temps. « Qui a dit que j’en avais fini avec toi », reprit –il en faisant lentement remonter ses doigts de son genou jusqu’au sommet de sa cuisse glissant sa main sous sa robe, arborant toujours son éternel un air de défi. Il allait l’embrasser lorsqu’il fut interrompu par leur chauffeur. « Hé les tourtereaux, attendez d’être arrivés à la maison pour ça, vous voulez bien, je ne veux pas de ça dans mon taxi. » Agacé, Will saisit son portefeuille dans la poche intérieure de sa veste et en retira un billet de 100 dollars. « Tiens prends ça et garde les yeux sur la route, tu veux bien. On ne va pas te salir tes sièges, on ne tient pas non plus à faire ça dans un taxi. », lança t-il pour se débarrasser de l’homme, qui n’allait certainement pas cracher sur un billet de 100 dollars pour un simple échange de baisers mouillés sur sa banquette arrière. C’était la première fois que Will étalait sa fortune quitte à passer pour un sale gosse prétentieux et hautain mais il n’en avait que faire, la seule qui comptait à cet instant c’était la blonde sexy sur cette banquette. « Bon, où en étions nous ? »
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T. Gillian Marshall
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyLun 16 Mai - 22:41



 
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« Viens, on rentre » Le sourire de la jeune femme en disait long. Elle se laissait entrainer lorsqu’il lui prit la main, sentant son coeur s’emballer au même moment. Ils touchaient du bout des doigts le moment qu’ils avaient construit tout les deux, dès l’instant ou ils avaient franchi la porte de la boîte de nuit. Ils retrouvèrent assez rapidement leurs amis, et Gillian laissa William régler les dernières décisions, se contentant de regarder en direction de Kate et Alex, les yeux brillants. Kate lui adressa un bref hochement de tête, auquel la jeune femme répondit par un large sourire. Oui, elle ferait attention et oui, elle prendrait soin de son frère même si la jeune femme avait trop d’honneur pour pouvoir le faire maintenant. Les choses étaient allés trop loin ce soir entre eux deux, mais rien n’était définitif ; comme beaucoup de choses concernant William, il faudrait du temps, de la compréhension. Kate devait apprendre comme Gillian, à le laisser venir, à accepter ses silences et à y trouver des réponses. En attendait, la jeune femme prendrait soin de le tempérer et même d’essayer d’amorcer une discussion avec Kate pour que les choses puissent s’arranger entre eux. Mais pas ce soir ; ce soir, la jeune femme voulait garder son petit-ami pour elle toute seule, elle ne voulait pas le laisser sombrer dans les problèmes. Elle voulait être sa seule préoccupation de la soirée et elle était bien partie pour. Elle se laissa entrainer dehors, sentait à peine la fraicheur de la nuit sur sa peau. Elle se laissa tomber sur la banquette, bon sang, pourquoi avait-elle mit des chaussures aussi hautes ? Elle sentit bientôt qu’elle était emprisonnée dans une étreinte. « Qui a dit que j’en avais fini avec toi » « Personne. » souffla la jeune femme en sentant son souffle se perdre dans sa gorge à mesure qu’elle sentait sa main remonter le long de sa cuisse. C’était un endroit qui ne s’y prêtait pas. Il y avait à la fois de l’urgence et de l’interdit. Il était en train de gagner le jeu, alors qu’il se penchait sur elle. Elle fermait déjà les yeux, sentant un frisson remonter le long de sa colonne. « Hé les tourtereaux, attendez d’être arrivés à la maison pour ça, vous voulez bien, je ne veux pas de ça dans mon taxi. » « Tiens prends ça et garde les yeux sur la route, tu veux bien. On ne va pas te salir tes sièges, on ne tient pas non plus à faire ça dans un taxi. » Gillian pouffait, pauvre taxi qui se retrouvait obligé de devoir assister à ça. Bien sûr qu’ils n’allaient pas faire ça sauvagement à l’arrière d’un taxi de façon sauvage. Ils attendraient d’être à l’intérieur. « Bon, où en étions nous ? » « Il me semble qu’on s’était arrêté à quelque chose qui devait ressembler à ça. » Elle venait de combler les derniers centimètres qui séparaient ses lèvres des siennes. Elle en voulait plus, toujours plus et c’était terriblement difficile pour elle de devoir se contenter d’un simple baiser.

Elle laissait William prendre l’avantage sur elle, laisser ses mains parcourir son corps, sans pour autant franchir les limites. Il avait été clair avec le chauffeur de taxi, qui allait devoir se contenter de conduire et de se taire pour le coup. William avait été assez dissuasif avec un pourboire plus que généreux, une habitude qu’elle ne lui connaissait pas, mais qu’elle ne désapprouvait pas pour le moment. « Nous sommes arrivés. » Gillian sursauta, perdue dans son baiser avec William. Elle n’avait même pas réalisé que le véhicule était à l’arrêt. « Viens, il me semble qu’on a des choses plus intéressantes à faire. » Elle s’extirper du taxi, avant de glisser sa main dans celle de William et de l’entrainer vers le portique de leur appartement. Ses mains se glissent autours de sa nuque et ses lèvres viennent attraper la peau de sa nuque alors qu’il compose le code. Gillian sent la porte derrière elle basculer et s’écarte de William, une lueur espiègle dans les yeux. Encore quelques étages. Elle l’entraine, toujours, oubliant la hauteur de ses chaussures et son état d’ébriété. Elle l’entraine au travers des marches, lui vole un baiser, lui vole des étreintes entre les cages d’escalier. Enfin ils arrivent au bon étage, elle le sent fondre sur elle comme un aigle sur sa proie. Elle se sent emprisonnée contre la porte, alors qu’elle fond ses bras, ses lèvres, son visage, sur tout ce qu’elle peut attraper. Elle commence déjà à faire sauter les premiers boutons de sa chemise. « Si tu ne te dépêches pas avec la porte, je ne pourrais plus rien pour toi. », souffle-elle à son oreille, la voix plus tentatrice que jamais. La porte cède enfin, et Gillian est la première à entrer à l’intérieur. Mais cette fois, elle n’entraine pas William avec elle. Elle entre seule, dans l’appartement sombre, se fondant dans ce décor qui lui était maintenant familier. Elle abandonne derrière elle ses chaussures, sa veste. Elle fait lentement glisser la tirette le long de sa taille, avant de s’arrêter, de chercher dans l’obscurité ses yeux. De lui lancer son regard à la fois railleur, à la fois joueur. « Alors Will, tu vas me regarder encore longtemps comme ça ? »
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyJeu 19 Mai - 22:19



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William & Gillian
Il jouait volontairement la provocation. Lui qui était d’habitude dans le contrôle permanent, qui aimait rester discret et bien élevé et qui avait horreur de s’afficher en public dans une situation qui manquait singulièrement de pudeur, avait décidé de se laissait aller, poussé à la fois par l’alcool et par le désir intense et renversant qu’il éprouvait pour cette femme. Elle était la seule pour laquelle il avait envie braver les interdits et de franchir les barrières de sa pudeur naturelle. La perspective du répréhensible et de l’interdit l’excitaient beaucoup plus qu’elles ne l’effrayaient. Bien sûr qu’il n’irait pas jusqu’à la prendre là, tout de suite, dans ce taxi, il avait bien trop de respect pour elle et pour l’homme qui vivait de son taxi pour se permettre une telle chose mais bizarrement, faire cela dans un lieu public avec elle était loin de le rebuter contrairement à ce qu’il avait pu en penser avec les autres. Il fut tout de même contraint de rassurer le chauffeur avec un gros pourboire sur le fait qu’ils n’avaient pas l’intention de faire quoi que ce soit dans son taxi. Puis il concentra à nouveau son attention sur la sublime créature qui se trouvait à ses côtés. « Il me semble qu’on s’était arrêté à quelque chose qui devait ressembler à ça. », reprit la jeune femme en se penchant en avant pour l’embrasser d’un baiser langoureux et terriblement sensuel. Il n’y avait pas que lui qui était dans un état d’excitation à en faire tomber les barrières de la pudeur. Gillian était elle aussi très discrète pour ce genre de chose, elle n’aimait pas s’afficher en public et gardait ses baisers les plus torrides pour les moments où ils étaient seuls dans leur appartement, dans leur intimité et à l’abri des regards indiscrets. Elle en voulait plus, il sentait son désir dans son baiser à  la tension des muscles de son corps sous ses caresses. Il faut dire que la tension sexuelle entre eux était d’une intensité rare et ce depuis le début. Dès leur premier baiser, Will l’avait follement désirée, et c’est ce qui l’avait conduit à vouloir la faire sienne immédiatement. Heureusement pour tous les deux, il s’était arrêté in extremis. S’ils avaient couché ensemble dès ce soir là, alors qu’elle n’était pas encore prête, ça aurait pu tout gâcher entre eux avant même que quoi que ce soit n’ait réellement commencé. Quoi qu’il en soit, contrairement à sa réaction de l’époque, la jeune femme ne pouvait pas ne pas voir le désir et l’attirance qu’il avait pour elle.

« Nous sommes arrivés. », fit remarquer le taxi alors qu’emporté dans leur baiser, ni Gillian, ni Will n’avaient remarqué que le taxi stationnait en bas de leur immeuble. « Viens, il me semble qu’on a des choses plus intéressantes à faire. » Will lui emboîta le pas sans même un regard pour leur chauffeur alors qu’elle l’entrainait par la main vers la porte d’entrée de l’immeuble. Il tape le code d’entrée tandis qu’elle s’accroche à sa nuque qu’elle couvre de baisers terriblement sensuels. «  Si tu continue, on n’arrivera même pas jusqu’à l’appartement. », la prévint-il entre deux respirations saccadées. Elle s’élance alors dans l’escalier, il la rattrape et passes ses bras autour d’elle. Leur montée se fait dans un joyeux chaos, ponctuée de baisers, d’étreintes, de rire, d’une petite chute même sur une marche mal appréhendée, leur excitation étant source d’une certaine maladresse. Ils arrivent finalement devant la porte que Will éprouve des difficultés à ouvrir, son mélange d’ébriété et d’excitation étant loin de l’aider au moment d’enfoncer la clé dans la serrure. « Si tu ne te dépêches pas avec la porte, je ne pourrais plus rien pour toi. », s’impatiente Gillian tout en cherchant à augmenter encore davantage son excitation par sa voix tentatrice et les baisers exquis qu’elle déposait dans son cou, obligeant son petit ami à fermer les yeux sous ses assauts délicieux. « Si tu arrêtais de me déconcentrer aussi ça irait plus vite. », répondit-il. La porte ouverte, Gill s’échappe une nouvelle fois et se fond dans l’obscurité de l’appartement. Il sourit face à cet affront et l’observe se débarrasser de sa veste et de ses chaussures, puis faire descendre doucement la tirette de sa robe jusqu’à sa taille. « Alors Will, tu vas me regarder encore longtemps comme ça ? » Elle le provoque, un air de défi encré dans ses grands yeux bleus. William referme la porte derrière lui, se débarrasse à son tour de ses chaussures et se dirige lentement vers elle, tel un prédateur qui s’apprête à se jeter sur sa proie. Il la contourne, sans la quitter des yeux pour se retrouver dans son dos. « Je savoure simplement cet instant. J’ai attendu toute la soirée de pouvoir t’enlever cette petite robe alors crois-moi, je ne vais pas me contenter de regarder. », lui murmure t-il à l’oreille d’une voix grave. Ses lèvres se posent dans son cou puis redescendent lentement dans son dos, parsemant sa peau pâle de baisers telle une trainée brûlante. Arrivé au creux de ses reins, à l’endroit où le tissu reprend ses droit, il se redresse et écarte les pans de sa robe pour la faire glisser le long de sa taille, jusqu’à ce qu’elle atteigne le sol, la laissant en simples sous-vêtements devant lui. Ses mains se posent sur ses hanches pour la faire pivoter face à lui et sans plus de cérémonie ses lèvres viennent prendre les siennes dans un baiser passionné. Les mains de la jeune femme viennent achever de déboutonner sa chemise la pour la faire tomber au sol en même temps que sa veste et tout cela sans que leurs lèvres ne se quittent un instant. « Pour être tout à fait franc, je ne suis pas sûr qu’on parvienne à la chambre », lâche William dans un souffle.
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMar 7 Juin - 20:43



 
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Elle le sentait. Ce frisson électrique qui remontait le long de sa colonne à chaque fois qu’il la touchait, qu’il posait les mains sur elle. C’était plus fort qu’elle, elle ne pouvait décidément pas se contrôler lorsqu’il décidait de mener la partie. Ce soir, la jeune femme voulait arrêter de réfléchir, de se prendre la tête, de se tourmenter avec leur vie respective. Elle voulait qu’il la fasse sienne comme en ce temps ou tout les deux n’étaient que des inconnus aux yeux du monde. Pour vivre heureux, ils vivaient cachés, ou du moins à moitié. Accroché à sa solide silhouette, Gillian sentait qu’elle perdait pieds à mesure que ses lèvres prenaient possession de son cou. Elle ne tiendrait plus longtemps, peut-être à cause de l’alcool, de l’envie, du désir, de la passion… Tant de vice qui coulaient dans ses veines en ce moment même. Mais le péché était tellement savoureux, comment refuser. « Si tu arrêtais de me déconcentrer aussi ça irait plus vite. » Elle souriait contre sa nuque, se délectant du « clac » caractéristique de la porte qui s’ouvrait. Elle ne voulait plus l’attendre, déjà elle se débarrassait de sa parure, sans le quitter des yeux. Elle s’était imaginé les milles et une façon dont il pourrait réagir une fois qu’elle aurait enlevé cette robe. Elle l’observe se mettre dans l’ambiance à son tour, ne cédant pas à son propre jeu. Il faisait de la résistance, comme à chaque fois. Il préférait attendre et savourer. « Je savoure simplement cet instant. J’ai attendu toute la soirée de pouvoir t’enlever cette petite robe alors crois-moi, je ne vais pas me contenter de regarder. » Elle sent son souffle descendre sur sa peau nue. Il va l’avoir, elle le sait. Comme à chaque fois. Elle laisse sa tête basculer contre lui tandis qu’il parsème son cou puis son dos de baiser. Elle sent sa nuque puis son dos se cambrer, répondant à ses caresses et ses baisers. Sa robe n’est bientôt plus qu’un souvenir. Elle laisse le tissus glisser sur ses hanches, révélant sa peau pâle. Elle sent qu’il la fait pivoter, ses cheveux blonds recouvrent à peine sa poitrine nues laissée à sa vue. Elle ancre son regard dans le siens. Et déjà, il cède au baiser, au caprice, au vice. Il plonge sur elle et l’enserre dans son étreinte en lui arrachant un soupir. Ses mains se pressent autours des boutons de sa chemise qu’elle envoie valser au sol bien vite. « Pour être tout à fait franc, je ne suis pas sûr qu’on parvienne à la chambre » Les mains de Gillian se font pressante autours de son cou, elle l’entraine, elle ne sait plus trop vers ou. Son dos bute contre la large table du salon. Sans que leurs corps se quittent, elle s’y hisse et vient l’enserrer entre ses jambes. « Personne n’a jamais dit qu’il fallait absolument avoir un lit. » souffle-elle, guidant ses mains contre son corps, ses mains épousant chacune de ses courbes tandis qu’elle laisse aller son dos en arrière, arquant ce dernier, sentant qu’il était sur le point de céder. Sur le point. Ah, car le William chevaleresque n’avait point envie de se montrer aussi barbare. Elle laisse échapper sa ceinture avec un dernier soupir. « J’en ai envie et toi aussi. »

Gillian ne savait pas si c’était l’urgence, le désir, la passion ou toutes ces choses réunies en une seule qui la firent grimper au septième ciel ce soir-là. Elle s’accrochait à son dos, sentant qu’elle perdait le contrôle, qu’elle perdait tout, oubliant jusqu’à ce qu’elle était en train de faire. Mais à quoi bon se torturer, ils ne faisaient que s’aimer ? Elle sentit l’ultime décharge arriver, pressant son corps contre le siens, sentant qu’ils se relâchait en même temps qu’elle et que son corps en sueur retombait sur le siens. Le bois froid de la table contre la peau de son dos encore incandescente la fit frissonner. Elle passait déjà une main dans ses cheveux, c’était un rituel qui ne se perdait pas, peu importe le lieu. « Qui aurait cru que cette table se révèlerait un jour aussi fonctionnelle ? » souffla-elle en riant. Légère et volupte. Elle l’était ce soir, loin de tout tracas et de toute forme de précaution. Ils s’étaient laissé tout les deux aller au jeu, un coup, comme ça sur une envie. Et selon Gillian, c’était à refaire. C’était une nuit, une envie, et elle n’avait écouté que son instinct avant sa tête. Ah, Gillian, si seulement tu savais…
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyVen 10 Juin - 19:40



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William & Gillian
Aux yeux de Will, Gillian avait toujours été belle et désirable, peu importe qu'elle venait de la rue, il ne l'avait jamais considérée comme « sale » alors qu'elle s'était longtemps considérée comme indigne d'un homme riche et capable de monter les marches du pouvoir. Aujourd'hui tout ça était derrière eux et Gill avait prit confiance en elle. Jamais elle ne l'aurait attiré ainsi contre cette table quelques temps plus tôt. Elle se hissa en position assise et crocheta ses jambes pour l'attirer contre elle. « Personne n’a jamais dit qu’il fallait absolument avoir un lit. » murmura t-elle contre ses lèvres. Les yeux du jeune homme s'écarquillèrent à la fois de surprise et d'excitation, décidément Gillian devenait brillante à ce jeu là. « Mmmm, madame se dévergonde... », répondit-il avant de reprendre les lèvres pulpeuses de la jeune femme, des lèvres qui appelaient au baiser et qu'il ne se lasserait jamais d'embrasser. Gill guidait ses mains partout sur son corps, il connaissait par cœur les courbes de la jeune femme mais les redécouvrir sous son rythme à elle était un pur plaisir. A chaque fois qu'il la touchait, il réalisait à quel point il était chanceux d'avoir une femme aussi sexy et désirable pour lui tout seul. Déjà, les mains de Gill se pressait sur sa ceinture, ils allaient s'envoyer en l'air sur cette table, ils ne pouvaient attendre une seconde de plus. « J’en ai envie et toi aussi. » Ça c'est sûr qu'il en avait envie, il ne pouvait pas le nier... et son pantalon non plus. Entre eux ça avait toujours été bon et ce depuis le début de leur relation et leur compatibilité sexuelle ne faisait pas le moindre doute, mais cette fois là ce fût spécial. C'était peut être le laisser-aller et le relâchement total dont ils faisaient preuve en même temps pour une fois, mais ils atteignirent un orgasme magistral qui les laissa tout deux pantelants de sueur.

Le corps du jeune homme retomba sur celui de sa partenaire le temps de reprendre son souffle et ses esprits tandis que, telle une douce habitude Gillian caressait ses cheveux du bout des doigts. Elle savait que ce geste tendre l'apaisait après l'amour. Une fois remit, William s'écarta d'elle pour la soulager. « Qui aurait cru que cette table se révèlerait un jour aussi fonctionnelle ? », lança la jeune femme en riant. Amusé, Will afficha un air faussement ennuyé. « Je ne pourrai plus jamais organiser des dîners de famille sur cette table », répondit-il avant d'éclater de rire à son tour. Rire ensemble était aussi un très beau moyen de s'aimer, les deux jeunes gens en étaient en tous cas persuadés. Quelque soit la nature de leurs ébats, tendres et doux ou passionnés et sauvages il y avait toujours entre eux après l'amour ce moment de douceur et de complicité. Will n'avait jamais connu cela avec d'autres femmes et il était conscient que ce moment de partage et d'échange était ce qui contribuait en renforcer encore leur couple. Il se redressa sur un coude et resta ainsi à l'observer. Les cheveux blonds étalés sur la table en bois, le regard bleu à la fois intense et d'une grande douceur, la poitrine nue, Gillian était une femme superbe, elle était sa compagne et il était certain de ne plus jamais en vouloir aucune autre. Cette femme qui se trouvait sous ses yeux, c'était la femme de sa vie, la seule et l'unique. « Il se pencha en avant  au dessus d'elle, « Je t'aime », dit-il simplement. Puis il vint déposer un tendre baiser sur les lèvres de sa belle. Il se sentait  bien, à l'aise et détendu mais il était loin de se douter des conséquences qu'allait avoir ces instants d'insouciance. « Ecoute, je sais que c'est difficile pour toi de vivre cachée. Si j'ai voulu qu'on soit discrets c'était pour nous laisser le temps de nous retrouver et de vivre à nouveau ensemble jusqu'à ce qu'on soit sûr que nos modes de vie sont compatibles. En ce qui me concerne, je suis prêt à ce qu'on se montre tous les deux en public, je veux dire, en tant que couple. Je suis très fier d'être avec toi Gillian, et je suis fatigué de me cacher, je voudrais simplement qu'on puisse se balader main dans la main, manger au restaurant ou aller voir un film. » William était on ne peut plus sérieux, ses yeux bleus étaient encrés dans ceux de sa petite amie tandis qu'il caressait tendrement sa joue du dos de la main. « Je sais que ça peut sembler étrange et décalé d'en parler allongés nus sur cette table mais qu'est-ce que tu en dis ? » acheva t-il sur un ton plus léger.
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptySam 18 Juin - 0:33



 
imagine-toi t’es là en train de te reprendre un verre au bar
, quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Osmose. Encore et toujours. Elle sentait sa respiration saccadée rencontrer la sienne, alors qu’elle reprenait petit à petit ses esprits. Finalement, ce n’était pas une si mauvaise idée que ça. C’était même ce dont ils avaient vraiment besoin, peut-être encore plus qu’une sortie en boîte en tant que parfait anonymes. Ils s’étaient retrouvés ce soir, de façon beaucoup moins conventionnelles et chevaleresques qu’à son habitude. Peu importe. Peu de choses importaient en réalité et au final seules les choses les plus simples demeuraient, parfois aussi futile qu’une main se glissant dans ses cheveux. Ils s’étaient donné l’un à l’autre, sans retenue, sans faux-semblants, sans cette gêne qu’elle ressentait au début lorsqu’elle s’était déshabillée les premières fois devant lui. « Je ne pourrai plus jamais organiser des dîners de famille sur cette table » Gillian gloussa de bon coeur, rejoignant le rire de William. Effectivement, elle n’aurait plus non plus la même vision sur cette table. Elle ne se priverait pas de lui jeter un petit regard en coin, accompagné d’un petit sourire à chaque fois que des convives se passeraient des assiettes à l’endroit même ou ils étaient allongés tout les deux. William l’observait, plongeant son regard océan dans le siens. Elle aimait son regard, cette façon si particulière qu’il avait de la détailler du regard, de faire en sorte qu’elle se sente à la fois belle et importante. « Je t'aime » « Je t’aime, plus encore qu’au premier jour. » souffla Gillian qui à l’époque pensait impossible le fait de l’aimer plus. Et pourtant, chaque jour qui passait faisait gonfler son coeur, le faisait battre un peu plus fort. Elle voulait rester piégée dans cette bulle à tout jamais, pour ne plus en sortir. Et pourtant, elle savait que la position délicate de William ne lui permettrait pas toujours des fantaisies de ce genre. Ce soir, c’était tout simplement merveilleux. Mais ce soir était aussi une exception, et la jeune femme ne devait pas l’oublier. Bientôt, il repartirait dans sa tour d’ivoire, là ou elle-même ne pouvait pas l’atteindre et ou elle n’avait aux yeux des autres guère plus d’importance qu’une vulgaire groupie. Gillian s’était souvent répétée qu’elle s’en moquait. L’essentiel tenait entre quatre murs, l’essentiel était cette vie qu’ils menaient tout les deux. Oui, l’essentiel dans le fond, c’était eux.

« Ecoute, je sais que c'est difficile pour toi de vivre cachée. Si j'ai voulu qu'on soit discrets c'était pour nous laisser le temps de nous retrouver et de vivre à nouveau ensemble jusqu'à ce qu'on soit sûr que nos modes de vie sont compatibles. En ce qui me concerne, je suis prêt à ce qu'on se montre tous les deux en public, je veux dire, en tant que couple. Je suis très fier d'être avec toi Gillian, et je suis fatigué de me cacher, je voudrais simplement qu'on puisse se balader main dans la main, manger au restaurant ou aller voir un film. » Gillian accusa le coup de cette demande, son regard se teintant d’un voile d’inquiétude. Est-ce qu’il était réellement sérieux ? Elle en rêvait depuis toujours, de ne plus faire semblant, de se promener main dans la main, de ne pas attendre d’avoir passé la porte de l’appartement pour retrouver tout les réflexes qu’elle avait à ses côtés. Et mieux encore, il lui répétait une nouvelle fois qu’il était fier d’elle et qu’il ne cherchait en rien à la cacher au yeux du monde. « Je sais que ça peut sembler étrange et décalé d'en parler allongés nus sur cette table mais qu'est-ce que tu en dis ? » Gillian déglutit difficilement, et se concentra un bref instant, malgré son état d’ébriété avancé. La question ne se posait bien sûr pas ; elle voulait être dans cette vie-là, cette vie qu’il menait au dehors. Mais elle était davantage tracassée par d’autres questions et souhaitait sauter sur l’occasion pour lui en faire part. Il était après tout extrêmement doué pour faire taire d’un claquement de doigts ses peurs les plus secrètes. « Je veux être à tes côtés, à chaque moment, et pas seulement à chaque fois qu’on franchis le seuil de ton appartement. Je sais que c’est ce que je veux, réellement. J’ai seulement peur de ne pas être prête, de faire des erreurs qui pourraient te retomber dessus et si jamais c’était le cas, je m’en voudrais terriblement. » continua la jeune femme, profondément concernée par son image et par ce qui pourrait lui arriver par sa faute, « Je veux être dans cette vie, mais j’ai besoin de toi encore une fois. Tu dois m’apprendre, me montrer et je sais que tu vas faire ça comme un pro. »
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMer 22 Juin - 0:07



❝Come on baby, light my fire
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William & Gillian
Sans pouvoir affirmer d’une manière certaine que Gill et lui passeraient toute leur vie ensemble, William voulait construire quelque chose sur le long terme avec sa petite amie. La vie de couple pouvait être compliquée, ils avaient leurs différences et ils n’étaient pas à l’abri d’une séparation, mais pour autant il n’était pas question de vivre cachés éternellement en ayant peur qu’une potentielle rupture ait un impact sur l’image du jeune homme ou bien qu’elle ne mette Gillian sous les projecteurs. Les deux jeunes gens s’étaient mis d’accord pour vivre leur relation discrètement et ne pas l’ébruiter pendant quelques temps, ils avaient besoin de se retrouver et de construire des bases saines pour leur couple, ce qui ne pouvait pas se faire en étant épiés et en figurant en première page de certains magazines. Aujourd’hui le célibat officiel de Will commençait à lui peser, d’une part parce qu’il voulait pouvoir sortir et avoir des gestes tendres envers son aimée en dehors des quatre murs de leur appartement, d’autre part parce qu’en ayant toujours l’image de l’héritier célibataire, il passait une bonne partie de son temps à repousser les avances d’un certain nombre de femmes et quelque soit la motivation derrière cet intérêt pour vous, il n’est jamais plaisant d’éconduire quelqu’un. Les journaux commençaient de toute façon à se douter de quelque chose, cela faisait maintenant des mois qu’on n’avait pas vu une jolie plante au bras de l’héritier Standford, un tel changement de comportement avait de quoi mettre la puce à l’oreille et déjà des rumeurs circulaient à propos du fait que le jeune homme n’était peut être plus aussi célibataire que ce qu’il voulait bien faire croire. Il fallait prendre les choses en main, officialiser leur couple à leur manière plutôt que de laisser faire ça à un paparazzi qui les surprendrait dans leur intimité. Ils étaient toujours très prudents lorsqu’ils sortaient mais Will commençait à en avoir assez de se surveiller constamment, surtout que maintenant qu’ils vivaient ensemble depuis quelques mois, maintenir leur relation secrète avait de moins en moins de sens.

Gillian semblait néanmoins inquiète vis-à-vis de la proposition de son petit ami, William s’attendait à tout sauf à cette réaction là, les brumes de l’alcool embrouillaient-elles encore l’esprit de la jolie blonde ? Il en était en réalité tout autrement. « Je veux être à tes côtés, à chaque moment, et pas seulement à chaque fois qu’on franchis le seuil de ton appartement. Je sais que c’est ce que je veux, réellement. J’ai seulement peur de ne pas être prête, de faire des erreurs qui pourraient te retomber dessus et si jamais c’était le cas, je m’en voudrais terriblement. » Soulagé de voir qu’elle s’inquiétait pour lui et pas qu’elle ne voulait pas apparaitre à ses côtés, il s’apprêta à répondre lorsqu’elle reprit la parole. « Je veux être dans cette vie, mais j’ai besoin de toi encore une fois. Tu dois m’apprendre, me montrer et je sais que tu vas faire ça comme un pro. » Allongé sur le côté, la main reposant sur sa tête Will posa une main sur la hanche de Gillian et se pencha doucement pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres. « On ne peut pas vivre cachés éternellement. Je sais que tu as peur, des erreurs tu en feras parce que tu n’es pas habituée à ce monde et qu’il te faudra du temps pour te sentir à l’aise. Les gens verront que tu ne viens pas le la haute société parce que tu n’as pas les codes et qu’ils ne t’auront jamais vu ou n’auront jamais entendu parler de toi. », commença t-il, conscient qu’on ne devenait pas du jour au lendemain une parfaite petite compagne mignonne et bien élevée, et ce n’était pas ce qu’il voulait de toute façon. « C’est ce que j’aime chez toi, ta spontanéité et ton naturel, je ne veux pas d’une poupée Barbie pour m’accompagner à mes soirées de gala, c’est toi que je veux. Alors si ça ne plaît pas aux gens moi je m’en fiche, toi et moi c’est authentique, et c’est bien plus important que mon image. Je serai à tes côtés pour te montrer les règles de base, faire en sorte que tu ne sois pas trop perdue et essayer que tu te sentes un peu plus à l’aise. Je te tiendrai la main et je ne te laisserai pas toute seule, mais il faut que tu acceptes d’être regardée différemment parce que tu n’es pas issue de ce monde, c’est comme ça, ces gens sont très fermés. Ils penseront d’abord que tu n’es qu’un passe temps pour moi, que je ne fais que m’amuser avec toi mais peu importe ce qu’ils disent, toi et moi on sait que nous deux c’est du solide alors ils finiront par s’y faire. Le plus important c’est que toi et moi on va pouvoir sortir, aller au restaurant ou au cinéma comme un couple normal. », achevat-il en se levant pour enfiler son caleçon. « Viens, on monte dans la chambre, on sera quand même mieux dans un vrai lit. »
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyMer 29 Juin - 22:21



 
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Gillian n’avait jamais eu peur d’avancer dans la vie. Elle avait toujours retroussé ses manches pour venir à bout des situations les plus difficiles. Elle n’avait cependant pas prévu de devoir inclure quelqu’un dans sa vie. L’entourage proche de la jeune femme l’avait déçu au plus haut point concernant ce qu’ils étaient prêt à faire pour elle. William était différent. Il avait été bourreau, mais il était déjà en train de se repentir alors qu’ils avaient fait connaissance pour la première fois. Conscient du danger qu’il représentait pour elle, il avait préféré l’écarter à plusieurs reprises plutôt que de tenter de la blesser, ce qui était pour Gillian une des plus belles preuves de son attachement sincère à elle. Elle n’acceptait pas pour autant qu’il puisse la repousser ; sans s’en rendre compte, la vie sans lui était devenue insupportable. Elle voulait chaque moment à ses côtés, même si sa vie avait pris un tournant beaucoup plus compliqué ces temps-ci. Elle ferait avec, elle affronterait cet inconnu à ses côtés, même si elle n’était pas du tout rassurée concernant ce qui pourrait arriver dans le futur. Des faux pas de sa part, des mensonges, des gens qui chercheraient à les séparer, des déclarations de presse faussées,… Dans cet océan qui s’ouvrait à elle, Gillian choisissait de se faire la promesse secrète de toujours faire confiance à William, quoi qu’elle puisse voir, entendre ou lire. Et comme à chaque fois qu’elle était submergée par des craintes, il arrivait à l’apaiser, à sa façon. « On ne peut pas vivre cachés éternellement. Je sais que tu as peur, des erreurs tu en feras parce que tu n’es pas habituée à ce monde et qu’il te faudra du temps pour te sentir à l’aise. Les gens verront que tu ne viens pas le la haute société parce que tu n’as pas les codes et qu’ils ne t’auront jamais vu ou n’auront jamais entendu parler de toi. » Elle partait dans le négatif et elle savait qu’elle aurait besoin de beaucoup de patience de sa part pour réussir à se tenir à ses côtés. Elle le ferait, elle en avait les épaules. Elle s’accrocherait, serrerait les dents. Elle le ferait pour lui. Pour eux. « C’est ce que j’aime chez toi, ta spontanéité et ton naturel, je ne veux pas d’une poupée Barbie pour m’accompagner à mes soirées de gala, c’est toi que je veux. Alors si ça ne plaît pas aux gens moi je m’en fiche, toi et moi c’est authentique, et c’est bien plus important que mon image. Je serai à tes côtés pour te montrer les règles de base, faire en sorte que tu ne sois pas trop perdue et essayer que tu te sentes un peu plus à l’aise. Je te tiendrai la main et je ne te laisserai pas toute seule, mais il faut que tu acceptes d’être regardée différemment parce que tu n’es pas issue de ce monde, c’est comme ça, ces gens sont très fermés. Ils penseront d’abord que tu n’es qu’un passe temps pour moi, que je ne fais que m’amuser avec toi mais peu importe ce qu’ils disent, toi et moi on sait que nous deux c’est du solide alors ils finiront par s’y faire. Le plus important c’est que toi et moi on va pouvoir sortir, aller au restaurant ou au cinéma comme un couple normal. » Elle hochait doucement la tête, consciente de l’importance de ce qu’il lui disait. La jeune femme allait être perçue comme une énième conquête, comme un passe-temps, et personne ne la prendrait réellement en considération pour cela. Elle devait être préparée à cela et continuer à se convaincre dans sa tête qu’elle était la seule pour lui, s’appuyer sur chaque petit moment passé ensemble pour se rassurer sur le fait qu’ils n’étaient qu’un.

Elle le regarda du coin de l’oeil se rhabiller. « On y arrivera, tu vas voir. » souffla la jeune femme, un sourire au coin des lèvres, « Je vais leur prouver que les petites mécaniciennes de Northville peuvent assurer, même assise avec les plus grands de ce monde. Je ne te décevrais pas, jamais. » Elle s’étira paresseusement, avant de se relever et de se glisser dans la chemise de William, avant de la boutonner. « Viens, on monte dans la chambre, on sera quand même mieux dans un vrai lit. » Elle hocha la tête, avant de glisser sa main dans la sienne et de s’appuyer sur lui pour monter les marches. La jeune femme se glisser bien vite sous les draps, roulant sur le côté, se calant naturellement contre William. « Cette nuit était parfaite, du début à la fin. Je voudrais que toutes les suivantes souvent comme celle-ci. » Plus elle continuait sa phrase et plus le sommeil la happait.
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MessageSujet: Re: Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN   Come on baby, light my fire ◊ WILLIAN EmptyJeu 30 Juin - 20:43



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William & Gillian
Le jeune héritier regardait sa compagne les yeux plein de tendresse et d’admiration. C’était difficile à le conçevoir aujourd’hui qu’elle partageait son confort et qu’elle avait trouvé un stage dans un cabinet d’avocat prestigieux mais Gillian avait eu plusieurs vies. Avant d’être sa compagne et de se relancer dans les études, la jeune femme avait travaillé pour deux dans un garage de Northville pour rapporter de l’argent à la maison. Difficile d’imaginer que sous ce physique de poupée aux boucles blondes et aux grands yeux bleus se cachait une mécanicienne qui savait réparer un moteur de voiture. Aujourd’hui, elle s’apprêtait à entrer dans le monde de la haute société et à s’exposer au regard critique et implacable de ses membres. William avait peur pour elle, parce que comme toujours, il voulait la protéger de ceux qui allaient la juger sans la connaitre, mais il ne craignait absolument pas que son passé ait un impact sur son image. Il aimait Gillian pour ce qu’elle était et admirait le tempérament qui lui avait permit de survivre à tout ce que  la vie lui avait infligé. Il ne pouvait qu’être fier d’elle et peu importe ce que les gens puissent penser d’elle, personne n’aurait assez d’influence sur lui pour les séparer. « On y arrivera, tu vas voir. » lança Gillian, confiante. William acquiesça, il n’avait aucun doute là-dessus, il avait suffisamment confiance en leur couple et en leur amour l’un pour l’autre pour savoir qu’ils s’en sortiraient quoi qu’il advienne. Après tout, ils avaient déjà survécu à l’attaque d’un psychopathe, résister à la pression d’une élite embourgeoisée n’était rien comparé à cela. Il enfila son boxer et l’observa du coin de l’œil enfiler sa chemise, il adorait la voir faire cela, ça avait quelque chose à la fois de très intime et de très tendre dans le principe de porter la chemise de son homme et aussi de très excitant en laissant apparente une bonne partie de ses superbes jambes. « Je vais leur prouver que les petites mécaniciennes de Northville peuvent assurer, même assise avec les plus grands de ce monde. Je ne te décevrais pas, jamais. » « La petite mécanicienne de Northville est bien plus grande et bien plus méritante que ne le seront jamais ceux qui ont hérité d’une fortune et n’ont jamais rien eu à faire pour assurer leur survie. Crois-moi je sais de quoi je parle », répondit William en lui jetant un coup d’œil complice.

« Cette nuit était parfaite, du début à la fin. Je voudrais que toutes les suivantes souvent comme celle-ci. », constata la jeune femme d’une voix ensommeillée en se pelotonnant contre lui dans leur lit king size. « Dois-je en déduire que tu as trouvé nos nuits précédentes décevantes ? » répondit William en passant son bras autour de la taille de la jolie blonde. « Je plaisante, moi aussi j’ai adoré cette soirée et d’une façon générale j’aime beaucoup mes soirées quand je les partage avec toi. Dors maintenant ma tigresse, il faut reprendre des forces, surtout si demain matin on décide de rebaptiser d’autres meubles de l’appartement ». Il déposa un tendre baiser sur son front et n’eut même pas le temps d’éteindre la lumière qu’elle s’endormait déjà. Il resta un moment à l’observer dormir et il sourit devant son air paisible. Elle était toujours tellement inquiète, que ce soit pour ses études à elle ou pour son image à lui, ça faisait du bien de la voir aussi détendue. Il remonta la couverture sur ses frêles épaules, éteignit la lumière et cala sa tête contre le sommet de la sienne. Peu importe ce qui pourrait arriver, Gillian était la femme de la vie, et il reviendrait toujours auprès d’elle.
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